Comme pour les évaluations précédents, les documents (évaluation A, bis et dossier document adapté) sont disponibles sur notre site. Vous y trouverez également les résultats globaux et détaillés par item.
Mais qui se cache derrière l’accompagnement des enseignant.es en Sciences humaines et derrière ce site ?
Nous nous sommes croisés lors d’un accompagnement, d’une journée de formation, d’un atelier inter-écoles, … ou tout simplement en nous lisant sur ce site.
L’équipe du secteur des Sciences humaines de la Direction de l’enseignement secondaire, c’est 5 personnes complémentaires au service de l’accompagnement et du soutien des enseignant.es en histoire et géographie de la 1ère à la 6e secondaire.
De gauche à droite : Carine Marion, Sarah Flock, Pierre Van Damme, Marianne Quitin et Céline Demoustier.
La CSA, c’est aussi d’autres équipes disciplinaires ou d’autres thématiques. Vous voulez en savoir plus ou transmettre l’info à vos collègues, cliquez sur le Genial ly.
C’est la rentrée des classes, vos conseillers et conseillères pédagogiques vous souhaitent une belle reprise.
Pour cette rentrée, les pages des géoportails et des histoportails ont fait peau neuve. Pas de panique, vous y retrouverez l’ensemble des portails présents dans l’ancien outils de sélection. Nous l’avons juste toiletté des sites qui ne fonctionnaient plus et ajouté l’une ou l’autre trouvaille.
Pour votre information, l’outil de recherche est d’ores et déjà adapté au nouveau programme du tronc commun puisque les catégories concernent également des thématiques du programme.
L’équipe des conseillers pédagogiques du secteur des Sciences humaines
1. Contextualisation dans le parcours d’apprentissage
Cette courte situation d’apprentissage permettra d’aborder des repères spatiaux européens et mondiaux en contexte, par exemple dans la séquence 1.2. Ces repères spatiaux pourront être ensuite réactivés dans la séquence 1.6 ou d’autres. Le document 3 permet également d’aborder certains repères spatiaux de Belgique tout en abordant la problématique de la voiture partagée. Cette situation d’apprentissage permettra également de pratiquer le changement d’échelles, élément important de l’apprentissage géographique. (suite…)
1. Contextualisation dans le parcours d’apprentissage
Cette situation d’apprentissage a pour objectif premier d’apprendre à l’élève à identifier une occupation du sol sur la base de la lecture et de l’utilisation d’une image géographique. La situation proposée ici est basée sur Bertrix, mais pourra être transposée sans soucis sur un tout autre milieu. L’exercice proposé est également différenciable, soit par le support (sur feuille ou à l’aide d’un projet google earth), soit par le soutien apporté à l’élève (fiche technique des occupations du sol et des fonctions donnée ou non), par exemple. Cependant, peu importe le type de différenciation choisi, l’objectif d’apprentissage restera le même, à savoir identifier des occupations du sol et nommer des fonctions sur la base de la lecture d’une image géographique.
Cette situation trouvera sa place notamment dans la séquence 1.3.
L‘application Wayback permet de remonter dans le temps pour observer les changements d’occupations du sol qui se sont produits à la suite de processus/phénomène tels que l’étalement urbain, la désertification, la déforestation, l’industrialisation, des incendies, des aléas (séisme, tsunamis, ouragan, inondation, …).
L’application prend en charge :
l’utilisation du balayage pour comparer des images de différentes dates (possibilité de partage le lien de la vue sélectionnée : voir exemples ci-dessous)
l’animation d’images au fil du temps pour un espace défini.
l’enregistrement d’une carte Web à partir d’images sélectionnées (nécessité d’avoir un compte ArcGIS)
Pour utiliser cette application : consulter le tuto en ligne
Voici quelques lieux pour illustrer différentes dynamiques spatiales :
Envie d’aborder le changement climatique d’une autre façon … Cette représentation théâtrale est pour vous !
Avec La bombe humaine, Éline Schumacher et Vincent Hennebicq mettent le dérèglement climatique au coeur de la réflexion. Dans une démarche sincère, drôle et intelligente, ils explorent toutes les facettes de la crise et tendent un miroir à nos incohérences.
Fonte des glaces, acidification des océans, disparition des espèces animales et végétales… Un mot résume à lui seul l’impact de l’Homme sur l’écosystème terrestre : anthropocène. L’ère des activités humaines qui, sous le joug du capitalisme, met à sac la richesse de notre planète. Nous savons que nous fonçons droit dans le mur, pourquoi est-ce qu’on ne fait rien pour empêcher cela ? C’est la question que se pose Éline, une humaine lambda, pleine d’idéaux mais aussi de contradictions comme beaucoup d’entre nous.
Armés d’un humour délicieusement décalé qui évite l’aspect moralisateur, Éline et Vincent abordent la grande question de l’avenir de la Terre, multipliant les rencontres avec des scientifiques, des anthropologues, des psychologues, des politiciens et des personnes au mode de vie alternatif. Émaillant le propos des soubresauts issus de leur propre vie, de la recherche du grand amour, du sentiment de culpabilité ou encore de l’addiction aux réseaux sociaux, ils nous offrent une bouffée salvatrice et un plongeon incongru dans l’intime face à l’humanité qui vacille.
La pièce s’accompagne de la musique originale live de Marine Horbaczewski et Olivia Carrère : clef de voûte sonore du spectacle donnant tantôt un air d’apocalypse, tantôt un parfum de printemps à la représentation.
« On en ressort gonflés à bloc, poussés dans nos voiles par l’énergie, l’humour, mais aussi le sérieux de ces confessions intimes doublées d’un copieux travail de recherche et de rencontres (…) » — Le Soir
Pour les dates et lieux de représentations, c’est ICI
Pré-requis : lire une référence bibliographique, identifier les éléments d’une question de recherche (Thème, Epoque, Lieu), maîtriser les notions de trace du passé et travail postérieur
1. Contextualisation dans le parcours d’apprentissage
Les élèves sont régulièrement amenés à distinguer une trace du passé et un travail postérieur. Cette activité permettra aux élèves de réactiver la lecture d’une notice bibliographique et les notions de trace et de travail. Il s’agit également pour l’élève de découvrir la pluralité des moyens de locomotion au 19ème siècle. (suite…)
1. Contextualisation dans le parcours d’apprentissage
Le parcours Google Earth que vous trouverez ci-dessous propose d’aborder le mode de vie “Circuler” à Tournai à travers l’observation. Pour cela, l’élève devra, seul ou en duo, suivre les différentes étapes et répondre aux questions se trouvant directement dans le projet. L’enseignant pourra, s’il le souhaite, utiliser tel quel ce projet ou le dupliquer et l’adapter à ses besoins.
7 Etapes pour créer sa première application Experience Builder
1. Sélectionner une carte
Ouvrir son compte ArcGIS et aller dans son contenu. Ouvrir une webcarte créée sur base de l’enquête Survey 123 ou de toute autre web carte (contenant des données). Cliquer dans le menu de gauche sur Créer une application et choisir Expérience Builder
2. Démarrer avec un modèle
Choisir parmi les modèles proposés celui qui vous convient en fonction de ce que vous désirez. Pour l’exemple, on choisit Plein écran vide en cliquant sur Créer
3. Choisir un thème
Choisir un thème pour définir les caractéristiques visuelles et fonctionnelles à donner à l’application. Les couleurs du thème sont appliquées à l’en-tête, au pied de page et au corps de chaque page d’application, y compris les paramètres de couleur des widgets sauf si vous les modifiez.
4. Sélectionner des données sources
Sur l’onglet Données, vous pouvez sélectionner plusieurs sources de données 2D et 3D qui seront utilisées par les widgets de votre application. Vous pouvez vous connecter à différents types de données, comme des cartes Web, des couches hébergées, …
5. Mise en page de la carte
Adapter la position et taille de la carte sur la page en fonction de la mise en page souhaitée. Dans le volet droit, vous pouvez paramétrer votre carte. Vous pouvez modifier la vue initiale:
Choisir personnalisée, cliquer sur Modifier et adapter la vue voulue ensuite Enregistrer.
Vous pouvez choisir différents Outils de la carte en activant les boutons, les icônes Outils apparaissent sur la carte.
À tout moment il est possible de passer en Vue dynamique pour voir le résultat et tester ce qui a été paramétré. Attention quand la Vue dynamique est activée, on ne peut rien modifier !
6. Ajouter des widgets
Les widgets apportent à votre application des fonctionnalités intéressantes comme les diagrammes, des géosignets, la création d’un profil d’élévation, des informations complémentaires sur les données, un filtre sur des données, …. Cela permet une gestion des données et une interactivité de votre application selon vos besoins.
Le contrôleur de widget
Cliquer sur + et choisir parmi les widgets proposés. Si plusieurs widgets sont insérés sur la carte, sélectionner le widget : contrôleur de widget (évite que le widget apparaisse en grand sur la carte) et glisser-déposer sur la carte à l’endroit voulu, il suffit de cliquer sur le + pour ajouter les widgets.
Paramétrer ce widget « contrôleur de widget » dans le volet de droite en sélectionnant dans comportement : multiple, type d’affichage : côte à côte. Vous pouvez également modifier l’apparence des icônes des boutons.
Quelques widgets intéressants
Profil d’élévation : tracer n’importe quel profil à n’importe quel endroit
Dessiner: Annoter une carte de façon éphémère
Filtrer: limiter la visibilité des entités d’une couche (dans l’exemple : identifier chaque élève)
Diagramme : visualiser les attributs quantitatifs d’une couche (dans l’exemple : les concepts observés)
Information sur l’entité : afficher les informations sur les entités d’une couche (dans l’exemple : les informations encodées par les élèves via l’enquête Survey 123)
Enquête : permet de créer une enquête ou d’utiliser une enquête existante dans le widget. Ce widget s’intègre à ArcGIS Survey123.
Paramétrage des widgets
Cliquer sur l’icône du widget inséré sur la carte, un volet à droite apparaît avec le paramétrage du contenu, du style et, pour certains, de l’action.
Widget filtrer
Modifier le titre : Nom des élèves (cliquer sur Filtre)
Cliquer sur Nouveau filtre
Cliquer sur sélectionner des données, et choisir la carte de données adéquates et cliquer sur le + choisir la couche adéquate
Générer une expression : cliquer sur Ajouter une clause, identifier l’attribut sur lequel on va filtrer : nom et prénom – contient
Ensuite aller dans paramétrage (écrou) choisir demander des valeurs et valider par OK
Widget diagramme
Modifier le titre : Concept (cliquer sur diagramme)
Cliquer sur sélectionner des données, et choisir la carte de données adéquates et cliquer sur le + choisir la couche adéquate
Cliquer sur Sélectionner un diagramme: Choisir par secteur
Paramétrage :
Données
Type de catégorie : par groupe
Champ de catégorie : choisir la donnée qui sera représentée
Tranche :
Etiquette des valeurs à activer
Décalage d’étiquette : 10
Mode couleur : par catégorie
Ajouter des actions à certains widgets
Ces actions vont permettre de rendre dynamique et interactive l’application. Il sera donc possible de n’afficher que les observations d’un élève, ou de n’afficher qu’une donnée (ici un concept) ou encore de mettre à jour les données en fonction de l’étendue de la carte.
Pour adapter les observations du diagramme en fonction de l’étendue de la carte
Dans le volet gauche, cliquer sur carte
Dans le volet droit
Clique sur Action
Ajouter un déclencheur
Modification d’étendue
Structure et choisir filtrer les enregistrements de données
Sélectionner les données: choisir la couche d’entité adéquate de la carte en cliquant sur le + .
Pour afficher une donnée spécifique sur la carte en fonction du widget diagramme. (ici les concepts)
Dans le contrôleur de widget, sélectionner le diagramme
Dans le volet droit
Cliquer sur Action
Ajouter un déclencheur
Modifications de sélection d’enregistrement
Sélectionner Carte
Filtrer
Sélectionner les données – choisir la couche d’entités adéquate de la carte en cliquant sur le +
Définir des conditions: choisir le concept pour les 2 conditions.
Dans l’exemple nous n’avons que les concepts concernant l’aménagement du territoire sur l’étendue de la carte
Dans l’exemple nous n’avons que les concepts qui sont identifiés sur l’étendue de la carte
7. Enregistrer et partager
Il suffit de modifier le titre, d’enregistrer l’application et de la publier en mode public.
Les socles de compétences, formation historique, ainsi que le programme d’Etude du Milieu, n’indiquent pas tel quel que la critique historique est abordée et travaillée au 1er degré.
Cependant, sous l’item « exploiter des sources historiques », c’est bien la 1ère étape de la critique que les élèves doivent apprendre.
1.Qu’est-ce qu’un document original ou un document reconstitué ?
Document original : document de première main, qui n’a subi aucune modification à exemple : grotte de Lascaux, …. Il peut cependant s’agir d’un extrait d’un document.
Document reconstitué : document qui a subi une intervention humaine à exemple : document faisant la synthèse de plusieurs documents, reconstitution, croquis, plan, copie grandeur nature, dessin,…
Remarque : Il est à noter que la traduction d’un document ne devra pas être assimilée à une modification du document pour l’apprentissage en secondaire.
2. Qu’est-ce qu’un fait, une opinion ?
Fait : ce qui est avéré, indéniable, vérifiable, objectif. C’est ce qui existe, c’est la réalité ou ce qui est démontré, c’est un acte, un événement, des chiffres, …
Opinion : avis personnel, jugement, basé sur un sentiment, une impression. L’utilisation d’un vocabulaire orienté relève également d’une certaine subjectivité.
Attention, il s’agit bien ici d’initier les élèves à la fiabilité de témoignages, apprentissage historien, et non d’une démarche d’analyse linguistique, apprentissage lié au cours de français.
3. Qu’est-ce qu’un témoin, un spécialiste ?
Témoin : personne qui a vécu, vu ou participé aux faits dont on parle. La référence peut donner des informations sur la/les personnes tenant les propos : soit par ses qualités (habitant de, ouvrier de, enseignant, …), en indiquant clairement qu’il s’agit d’un témoignage, …
Spécialiste : personne qui a des connaissances et/ou des compétences approfondies dans le domaine étudié. Sa formation, son diplôme ou sa fonction peuvent faire de lui ou de l’organisme un spécialiste du sujet.
Il est à noter qu’un auteur peut être en fonction de l’objet ou la question de recherche (OR) témoin ou spécialiste :
Exemple : un chef d’industrie drapière sera un témoin des conditions de travail des ouvriers sous ses ordres, mais pourra être considéré comme spécialiste du processus de production de son industrie. Donc, la réponse témoin/spécialiste dépendra de l’OR donné à l’élève.
4. Conditions de réalisation de «la lecture et l’exploitation d’une source historique » au cours d’EDM :
La référence est complète. Ne pas oublier les dates de production et/ou de consultation pour un site web
L’auteur est identifié. Ses qualités sont brièvement explicitées
Le dossier documentaire est varié. Les documents sont de natures différentes
L’objet de recherche doit être énoncé à l’élève de manière précise : thème-temps-lieu.
Les documents sont simples, courts, sans ambigüité et utiles (non illustratifs, distracteurs)
5. Démarches mentales :
Distinguer le corps du document du paratexte (référence bibliographique, notice explicative, légende, …)
Identifier l’auteur du document et ses qualités à savoir lire une référence bibliographique, en connaître les composantes
Le contenu du document me donne-t-il des indices concernant l’objectivité (« je », « nous », ton, … vs fait, distanciation, argumentation, explicitation, …) de l’auteur du document ?
6. Voici des exemples de questions abordant l’exploitation de sources historiques :
Dans les évaluations du réseau :
2015 : Diest – doc p.2 du Carhop (spécialiste) 2016 : Herbeumont – Q2 b,c, Q3 2017 : Trèves/Provins : Q24,25,27, et Q28 2018 : St Denis – Q33 + doc page 5 (témoignage), Q42 2019 : Calais – Q43, Q44, Q48 et 49 2020-21 : Guise – Q43 à Q47
Dans les évaluations externes non certificatives :
Aujourd’hui la carte est un outil largement présent dans les médias : internet, journal télévisé, presse écrite, … Elle est un puissant outil de communication et à pour but de délivrer un message pour permettre aux lecteurs de comprendre ou de prendre une décision. Toutefois, la réalisation d’une carte est un processus complexe qui implique des choix de la part du cartographe, elle est donc bien une représentation possible de l’espace ou d’un phénomène, ce qui implique des choix de la part de l’auteur : sélection des données, les figurés et les couleurs, le fond de carte, l’échelle, etc… Réaliser une carte ne s’improvise donc pas.
Face à cette utilisation intense des cartes comme moyen de communication, il faut indispensable de réfléchir sur la qualité et la pertinence d’une représentation cartographique avec nos élèves, savoir-faire à travailler dès le 2ème degré et à certifier au 3ème degré.
En lien avec l’actualité française, voici une petite vidéo de Jules Gandrin, cartographe français, qui porte un regard critique sur la façon dont les cartes réalisées sur le premier tour des élections présidentielles françaises de 2022 peuvent nous influencer !
Vous connaissez plus que probablement l’encyclopédie collaborative Wikipédia, mais connaissez-vous les accès interactifs à ses articles sous forme de ligne du temps ou de carte ?
Un manière de faire découvrir un contexte historique ou spatial aux élèves à l’aide d’outils numériques, ou encore de leur faire sélectionner des repères temporels pertinents.
Retrouvez les ressources proposées sur notre site en actualité dans nos géoportails et histoportails. Pour y accéder, cliquer sur l’onglet numérique
1. Contextualisation dans le parcours d’apprentissage
A l’heure où s’ouvrent les Jeux olympiques d’hiver de Pékin, on peut se poser la question de l’introduction de cette actualité dans le cours d’EDM. Vous trouverez ci-dessous différentes pistes mettant en œuvre des apprentissages géographiques ou historiques du cours d’EDM qui prennent appui sur les jeux olympiques.
Instant Apps sur Arcgis Online est la nouvelle génération d’applications de cartographie Web configurables. Instant Apps inclut une bibliothèque de modèles d’application et une option de configuration rapide lorsque vous voulez personnaliser l’application.
Chaque modèle d’application répond à un but spécifique, comme afficher une carte, comparer des contenus, calculer un itinéraire, ou rechercher quelque chose à proximité. Ces modèles sont également optimisés pour les appareils mobiles. Les nouveaux formats des atlas numériques de géo ont été créer à partir d’Instant App.
Pour créer des applications avec Instant Apps, vous devez vous connecter à votre compte d’organisation. Si vous n’avez pas encore de compte d’organisation, inscrivez vous gratuitement ICI
Sélectionner une carte
Rechercher dans votre contenu une web Map (une carte) que vous voulez afficher dans une application intuitive et personnalisée
2. Choisir un modèle d’application
Sélectionner “créer une application web” et choisir “Instant Apps”
2. Choisir un modèle d’application selon vos données et vos objectifs. Un descriptif est donné pour chaque modèle en cliquant sur la flèche à côté du nom du modèle. Il y a une dizaine de modèles qui répondent à des fonctionnalités bien précises. Dans l’exemple ci-dessous, on vous décrit la Barre Latérale (modèle pris pour la réalisation des atlas 2.0)
Afficher un aperçu avec vos données en sélectionnant la prévisualisation. Si l’aperçu vous convient, cliquer sur “choisir”
3. Configurer les paramètres et les outils
La configuration Express vous propose de parcourir les paramètres essentiels en 4 étapes . Vous pourrez par la suite ajouter, modifier ou supprimer des outils et fonctionnalités, et ajuster l’apparence.
Pour chaque étape, suivre les instructions et activer les options en cliquant sur les boutons.
Une fois cette première configuration faite, désactiver le mode “express” (en haut à gauche de l’écran) afin de paramétrer d’autres d’autres éléments.
2. L’onglet “interactivité” permet d’ajouter des outils pour améliorer l’exploration de la carte
Explorer/naviguer : vous pouvez activer les géosignets (si vous en avez placé sur votre carte)
Modifier : vous pouvez mettre un bouton pour passer d’un fond de carte à un autre
Partager : capture d’écran, exporter en PDF et partager sur les réseaux sociaux
3. L’onglet “Barre latérale” permet d’activer plusieurs paramètres dont le volet “filtre”
Sélectionner la couche sur laquelle vous désirez définir un filtre. Il est possible de définir plusieurs filtres.
Sélectionner la couche sur laquelle vous désirez définir un filtre. Il est possible de définir plusieurs filtres
Choisir “entrée utilisateur”
Choisir le filtre d’entrée utilisateur : sélectionner la donnée que vous voulez filtrer
Enregistrer
Si vous voulez supprimer un filtrer, cliquer sur la corbeille.
Attention certaines couches WMS, WFS ne sont pas encore prises en charge par les Instant Apps. Il vous sera donc impossible de faire un filtre.
4. Publier son application
Publier votre application et partager la en mode public ou à votre organisation ou avec vos groupe à l’aide du lien généré
Voici les 4 exemples publiés sur le site pour les 4 atlas de géographie.
L’expression « virage numérique » désigne l’intégration des technologies numériques au sein des pratiques d’une organisation, autant au niveau de la production que de la gestion. … Il s’agit d’une conversion de l’ensemble des procédés de l’organisation sur tous les niveaux.
L’évolution des représentations
L’évolution de la formation géographique ces dernières années se caractérise principalement par le passage progressif d’une géographie basée sur des notions, des théories et des modèles, à une géographie basée sur l’observation de l’occupation des espaces.
C’est une modification profonde qui n’est pas une conséquence d’un courant pédagogique de type socioconstructiviste, mais des modifications des représentations de l’espace du fait de l’environnement numérique : l’espace peut maintenant se lire comme un livre. On passe de représentations conceptuelles (cartes, plans, schémas, croquis …) ou ponctuelles et parcellaires (photographies au sol) à un système de représentation constitué de vues aériennes continues (de type Google Earth). La résolution s’adapte en fonction de l’échelle et permet de distinguer des traces des activités humaines à l’échelle de moins d’un mètre.
Les représentations de l’espace passent de vues conceptuelles et parcellaires à des quasi-réalités n’importe où sur Terre, du moment présent jusqu’à au moins 1984.
Les composantes du virage numérique
Cette mutation impacte les acquis d’apprentissage dès l’enseignement fondamental avec le besoin de nouveaux savoir-faire (manipulation des globes virtuels et autres géoportails ou SIG) et de nouveaux savoirs (principalement les indices qui permettent de reconnaitre une occupation du sol).
Cette mutation impacte les compétences requises pour enseigner la géographie avec la maitrise des outils pour multiplier les observations et les mutualiser, la connaissance des éléments qui permettent de reconnaitre des occupations du sol, la connaissance de lieux de référence pour illustrer les effets des modes de vie sur les territoires ou les effets des territoires sur les modes de vie
Ces changements relatifs aux acquis d’apprentissage et aux compétences requises pour enseigner permettent de caractériser les composantes du virage numérique pour la formation géographique. Cette mutation caractérise aussi la contribution nouvelle de la géographie à la littératie capacités à lire et communiquer des faits et phénomènes spatiaux.
Ces éléments sont déjà pris en compte dans le programme de la formation géographique qui termine son intégration par son application en 6e année de l’enseignement de transition en septembre 2021. Dans le futur Tronc commun, la capacité à identifier l’occupation du sol est au cœur de la formation géographique.
Les acquis d’apprentissage
En termes d’acquis d’apprentissage, les expériences montrent que cette mutation permet de développer une culture géographique beaucoup plus riche et qu’elle permet de développer de manière particulièrement solide les notions, les théories et les modèles géographiques en les reliant avec des réalités variées.
La mutation de la discipline scolaire peut être un levier pour accroitre les connaissances et les compétences non seulement parce qu’elle intègre des manières de représenter l’espace plus familières pour les élèves, mais aussi parce qu’elle permet d’augmenter les connaissances factuelles et conceptuelles.
Cette année, encore plus que les autres, l’évaluation des éléments les plus importants pour poursuivre la formation ou pour atteindre ses finalités mérite une attention particulière.
Pour différents cours, des supports ont été publiés pour vous aider dans ce travail.
Conformément à chaque programme, il s’agit, pour chaque année, d’une page sur laquelle les éléments essentiels qui sont attendus au terme de l’année sont listés.
Pour la formation géographique, 3 rubriques
Les tâches
Ce que l’élève doit être à même de réaliser en autonomie en mobilisant implicitement les savoirs et savoir-faire nécessaires (compétences). Sur la version numérique du programme, par exemple à l’adresse https://fesec.scienceshumaines.be/geo-programme/#4e , chaque tâche est complétée par des critères de qualité qui peuvent servir de base pour la construction de la grille d’évaluation.
Les savoirs (déclaratifs)
Pour chaque savoir, une ou deux tâches attendues sont indiquées dans le programme. Par exemple, quand il est écrit “L’élève connait la répartition spatiale des principaux espaces peuplés et peu peuplés aux échelles mondiale et continentale”, les tâches suivantes sont attendues : “L’élève peut représenter schématiquement les principaux espaces peuplés et peu peuplés sur une carte vierge et les nommer.” et ” L’élève peut localiser et nommer les principales aires urbaines figurées sur une carte”.
Les savoir-faire
Pour chaque savoir-faire, la liste des éléments qui peuvent être attendus est précisée. Tous les éléments d’un même savoir-faire ne doivent pas nécessairement être évalués au même moment. Par exemple, pour le savoir-faire relatif à la construction d’une représentation cartographique, il est attendu au final que l’élève puisse déterminer un titre (nominaliser l’information); … indiquer l’échelle; … indiquer l’orientation; …construire une légende; … indiquer les sources; … choisir le type de figuré adapté à l’objet cartographié (point/ligne/surface); … adapter la hiérarchie des figurés (taille/couleur et intensités). Lors de l’évaluation de ce savoir-faire, il peut être décidé de n’évaluer que l’élément “… choisir le type de figuré adapté à l’objet cartographié (point/ligne/surface); “
* En 2020-2021, le service général de l’Inspection, sur demande de la Ministre, recommande de privilégier toutes années confondues, les compétences de critique et de synthèse, ces deux compétences étant actuellement les seules retenues alternativement pour les épreuves externes à la fin du cursus (CESS).
Les savoir-faire transversaux
Uniquement les savoir-faire essentiels à l’apprentissage de ces deux compétences.
Il ne faut pas évaluer toutes les éléments indiqués en fin d’année. D’autres évaluations ont eu lieu en cours d’année.
Il faut s’assurer que la majorité des items ou des questions de l’évaluation de juin trouvent leur place dans le tableau synoptique. Les éléments qui n’y trouvent pas explicitement leur place sont de l’ordre du dépassement.
Ce document peut également servir de rapport des compétences (notamment dans le cadre de la CPU) pour faire le bilan des acquis au terme d’une année et/ou lister les éléments non acquis en vue d’une remédiation. Ce support peut faciliter les échanges lors du conseil de classe.
Vous cherchez des vestiges archéologiques d’un pays ou d’une civilisation en particulier, d’une époque, … vous voulez les visiter, mais sans pouvoir vous y rendre !
Archéodyssée vous permettra via sa carte interactive (Time Machine) de trouver le site archéologique à visiter parmis les 800 proposés. Vous aurez aussi accès aux visites virtuelles de la plupart de ceux-ci. Sinon, vous trouverez peut-être votre bonheur dans les vidéos disponbiles.
Ainsi, ce site internet représente une mine d’or pour approcher au plus près les vestiges archéologiques et héritages du passé de multiples civilisations.
1. Contextualisation dans le parcours d’apprentissage
Cette courte situation d’apprentissages a pour objectif premier de faire travailler aux élèves la mise en évidence de l’organisation du temps sur la base de la lecture et de l’analyse d’une représentation du temps de l’évolution de la production.
2. Document
Note pour l’enseignant : Un imagier de chaque invention pourrait également soutenir les élèves dans leur compréhension par la visualisation de ces inventions.
3. Consignes
Sur la ligne du temps ci-dessus :
Place les dates correspondant à chacun des événements suivants : Révolution française et Indépendance de la Belgique ;
Colorie les périodes conventionnelles présentes sur la ligne du temps ;
Réalise une légende pour les périodes conventionnelles coloriées. N’oublie pas de les nommer;
Calcule la durée entre l’invention par James Watt de la machine à vapeur et celle du moteur à explosion ;
Nomme le siècle durant lequel tu observes le plus d’inventions ;
Complète les phrases suivantes avec le terme adéquat : antérieur – postérieur ou contemporain
La Révolution industrielle est …. du XIXe siècle ;
La première moissonneuse-batteuse est … au premier train ;
L’invention de la pile par Volta est … à la Révolution française ;
L’énergie nucléaire est … à la Première Guerre mondiale ;
La Seconde Guerre mondiale est … à la désindustrialisation ;
7. Donne un titre pertinent à la ligne du temps ;
8. Si le charbon est l’énergie de la Première Révolution industrielle, nomme l’énergie motrice des deux autres révolutions industrielles :
9. Cite une énergie qui existait et une autre qui n’existait pas lors de la 1er Guerre mondiale
10. Cite un fait présent sur la ligne du temps caractérisant la période de désindustrialisation
3′ Consignes pour la classe DASPA /pour les élèves allophones
Les consignes de cette situation d’apprentissage se prêtent tout particulièrement bien à “Repérer-Nommer” des informations dans un document pour ensuite les “ordonner, catégoriser”, ici par “questions-réponses”.
Un imagier de chaque invention pourrait également soutenir les élèves dans leur compréhension par la visualisation de ces inventions.
Il est à noter que la question 7 est d’un niveau plus complexe et seront donc à considérer comme non-prioritaires pour les élèves.
4. Exemples de production(s) attendue(s)
Sur la ligne du temps ci-dessus :
Place les dates correspondant à chacun des événements suivants : Révolution française et Indépendance de la Belgique ;
Colorie les périodes conventionnelles présentes sur la ligne du temps ;
Réalise une légende pour les périodes conventionnelles coloriées. N’oublie pas de les nommer; Correctif ligne du temps
Calcule la durée entre l’invention par James Watt de la machine à vapeur et celle du moteur à explosion : 90 ans
Nomme le siècle durant lequel tu observes le plus d’inventions : 19e siècle / XIXe siècle
Complète les phrases suivantes avec le terme adéquat : antérieur – postérieur ou contemporain – La Révolution industrielle est contemporainedu XIXe siècle ; – La première moissonneuse-batteuse est antérieureau premier train ; – L’invention de la pile par Volta est postérieureà la Révolution française ; – L’énergie nucléaire est postérieureà la Première Guerre mondiale ; – La Seconde Guerre mondiale est antérieureà la désindustrialisation ;
Donne un titre pertinent à la ligne du temps ; l’évolution de la production du 18e au 21e siècle
Si le charbon est l’énergie de la Première Révolution industrielle, nomme l’énergie motrice des deux autres révolutions industrielles : 2e :électricité (+début du pétrole, mais non indiqué sur la LDT) et nucléaire pour le 3e RI.
Cite une énergie qui existait et une autre qui n’existait pas lors de la 1er Guerre mondiale. L’électricité et le charbon étaient utilisés comme énergie motrice avant 14-18, ce qui n’était pas le cas pour l’énergie nucléaire.
Cite un fait présent sur la ligne du temps caractérisant la période de désindustrialisation : fermeture des charbonnages ou développement du nucléaire.
5. Apprentissages à structurer dans le cours
La structuration se fait au moment choisi par l’enseignant sous une forme au choix (p.ex. des fiches, des encarts dans le cours, …)
Savoirs : (dés-)industrialisation, Machine à vapeur, Révolution française, Indépendance de la Belgique, les 2 Guerres mondiales, antérieur/postérieur/contemporain, …
Savoir-faire : Situer des faits les uns par rapport aux autres en utilisant les termes : antérieur/postérieur/contemporain, identifier des durées, identifier des moments de croissance/développement et/ou de décroissance, déterminer un titre, délimiter un siècle, une période, …
6. Exemple de grille d’évaluation des apprentissages et des acquis :
La pondération est fonction du niveau de l’apprentissage (première phase de l’apprentissage ou un élément consolidé).
Critères de qualité
Pondération
Savoirs :
1. les dates des faits sont correctes
0-1-2
Savoir-faire :
1. inscrire un fait sur la LDT ;
2. Délimiter une période conventionnelle;
3. la légende est correcte et complète;
4.identifier une durée;
5. le siècle est correctement identifié ;
6. situer des faits les uns par rapport aux autres ;
7.déterminer un titre;
8. les deux énergies sont correctement nommées ;
9. les énergies sont correctement nommées par rapport à la 1er guerre mondiale ;
10. un fait est correctement mis en lien avec la désindustrialisation
11. un lien pertinent est rédigé
0-1-2
0-1-2
0-1
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7. Piste(s) pour la certification des apprentissages
L’enseignant pourra exercer ces mêmes savoirs et savoir-faire sur une autre représentation du temps. Par exemples :
Le but du projet est de visiter chacune des intersections de degrés entiers de latitude et de longitude dans le monde et de prendre des photos à chaque endroit (au moins dans les 4 directions cardinales). Le projet a été initié voilà plus de 25 ans et est toujours actif. ACCES ICI
C’est une source très intéressante notamment pour illustrer des environnements bioclimatiques pour la formation géographique ou trouver des paysages pour faire des comparaisons avec son environnement proche en EDM.
Les cours sont suspendus pendant la dernière semaine du mois de mars. Et si on en profitait pour faire le point sur ce qu’il faut retenir des outils numériques disciplinaires ?
Depuis plus d’un an, par la force des choses, on a exploré un tas de nouveaux outils numériques et de nouvelles manières d’utiliser ceux qui étaient déjà connus. Sans compter les outils transversaux (Wooclap, Padlet…), c’est par dizaines que les outils disciplinaires se comptent. Les expériences sur le terrain permettent maintenant de mettre en évidence quelques outils qui s’avèrent particulièrement efficaces pour enseigner et apprendre.
Du 29 mars au 2 avril 2021, des rencontres en ligne sur Zoom sont proposées pour (re)découvrir à travers des exemples d’utilisation avec les élèves, les outils disciplinaires les plus performants.
Consultez régulièrement la page ci-dessous, les propositions évolueront au cours de la semaine en fonction des demandes.
Ce sera aussi l’occasion de vous présenter une nouvelle plateforme sur laquelle nous avons regroupé tous les outils numériques avec leurs tutoriels et exemples d’utilisation.
Top 6 des outils numériques
Des outils numériques (par ordre alphabétique) pour mettre rapidement et efficacement les élèves en activité d’apprentissage en EDM, en FHG, en géographie et en histoire et mettre les élèves en activité.
Si les élèves ont déjà été un peu familiarisés avec l’interface ArcGIS Online, qu’ils ont pu créer un compte (public ou via la licence School Bundle), c’est l’interface la plus performante pour soutenir la formation géographique en hybridation. En quelques clics, l’élève enregistre ses observations géographiques sous forme de géosignets, il complète ses observations en ajoutant des notes de carte qui comportent du texte, des images … et il peut même réaliser des analyses spatiales (zone de chalandise d’un supermarché, de visibilité d’une éolienne …) et accéder à des milliers de cartes.
… Et son application « Survey123 » – Les traces du passé près de chez moi: et si on faisait prendre l’air à nos élèves et découvrir en même temps les traces du passé près de chez eux ? Ex- Application « traces du passé près de chez moi » et tutoriel « Survey 123 »
Sans trop quitter l’univers familier de l’atlas papier, les versions numériques sont particulièrement bien adaptées à l’hybridation. Les outils de superposition, de filtre, d’annotation, de mesure … permettront d’apprendre plus et plus vite que ce soit pour décrire des disparités spatiales ou les expliquer.
Dans le cadre d’une étude thématique (déforestation, mondialisation, migrations, aménagement du territoire…), des systèmes d’informations géographiques spécifiques sont créés par des organisations très performantes (WalOnMap, Global Forest Watch …). Choisissez le géoportail qui vous intéresse et proposez des consignes pour une analyse géographique. La production pourra être des annotations sur une carte, du texte, un tableau d’atouts/contraintes … en fonction des apprentissages ciblés.
La création d’un projet par l’enseignant (consignes pour observer, expliquer ou communiquer) ou par l’élève pour transmettre son travail est une des solutions les plus rapides et efficaces pour réaliser des observations géographiques. À utiliser sans aucune modération. Et pourquoi pas un projet collaboratif permettant de visualiser des vestiges archéologiques ou monuments d’une époque ?
Une question, une remarque, une suggestion, un problème technique ou pédagogique. Toute l’équipe du secteur des sciences humaines est à votre disposition. Nous pouvons entrer en contact par courriel ou en visio (zoom). Les adresses sont accessibles sur la page https://fesec.scienceshumaines.be en cliquant sur le nom des personnes.
Plateforme on-line qui offre un ensemble de documents cartographiques collectés dans divers travaux historiques, le Bouquet porte sur l’espace que constitue aujourd’hui la Wallonie. Ces cartes et plans ont été élaborés par les chercheurs au gré de leurs publications (articles, monographies, mémoires de licence/master, etc.) et sont le plus souvent thématiques (le réseau ferroviaire au 19e siècle, l’agriculture au Bas Moyen Âge, l’implantation industrielle au 18e siècle…). Il ne s’agit pas de cartes anciennes, mais bien de réalisations d’historiens des 19e, 20e et 21e siècles. La période couverte s’étend de la Préhistoire à nos jours.
Pour votre bonne information, les grilles excel d’encodage ne sont plus fournies depuis que l’encodage se fait directement sur la plateforme accessible aux enseignants d’EDM via l’extranet du segec.
L’occupation du sol permet d’identifier les activités humaines sur des territoires. Cette occupation du sol varie d’un espace à l’autre et est donc, à ce titre, un objet géographique de premier ordre. (suite…)
Izi-travelpropose différents audio-guides qui permettent de visiter des villes, des sites ou des musées du monde entier. Ces audio-guides sont accessibles dans différentes langues et leur auteur est facilement identifiable. Le plus de ce site est de permettre la réalisation gratuite d’audio-guide par les particuliers.
Ainsi, on retrouve des visites de villes comme celle de Namur réalisée par l’office du tourisme de la ville mais également des productions scolaires comme une visite de Rome par le Lycée Jeanne d’Arc. On notera cependant que certaines visites sont en accès payant.
Suivre une visite guidée, c’est déjà bien mais la créer avec ses élèves, c’est une plus-value indéniable et l’immersion pourra réellement en tirer profit.
Izi Travel vous permet de:
créer votre propre parcours découverte commenté
demander aux élèves de rédiger puis lire les commentaires qui seront enregistrés pour l’audio-guide (là est l’intérêt réel pour les cours donnés en immersion)
créer un jeu de piste avec des questions (quiz) qui permettent d’évoluer au fur et à mesure des découvertes.
Envie de partager une expérience, un projet, une situation d’apprentissage? Besoin de poser une question, d’être rassuré? Envie de découvrir de nouveaux outils, de faire du co-développement?
Participez à nos permanences qui auront lieu ces mois de novembre et décembre. Le programme est ici.
Pas besoin de s’inscrire. Suivez le lien proposé à la bonne heure et participez librement aux échanges.
Tout le monde utilise Google, ses cartes et ses vues aériennes.
Que ce soit cet outil ou un équivalent, ce mode de représentation est le plus répandu aujourd’hui pour se repérer, s’orienter, se déplacer ou lire l’espace.
En y regardant de plus près, avec la fonction zoom, on y voit tout ou presque. Son logement, le nombre de voitures sur un parking, son école, des lieux de vacances, des parcs solaires ou éoliens, une zone inondée suite au passage d’un cyclone…
Il n’est pourtant pas rare d’être en difficulté pour nommer ce qui peut être vu. Un peu comme si, en lisant un roman, de nombreux mots étaient incompris. La FEGEPRO a décidé de se mobiliser pour apporter aux élèves un outil inédit et innovant pour apprendre à lire l’espace.
Le GEO84 – Un ouvrage de 150 fiches :
qui donnera les bases de la lecture de l’espace par la reconnaissance d’éléments clés de l’occupation du sol ;
qui éveillera la curiosité et donnera envie d’aller voir ailleurs ;
qui favorisera l’apprentissage et la compréhension des territoires à partir de l’observation d’éléments concrets ;
qui sera utilisable tout au long de l’enseignement secondaire ;