Mais qui se cache derrière l’accompagnement des enseignant.es en Sciences humaines et derrière ce site ?
Nous nous sommes croisés lors d’un accompagnement, d’une journée de formation, d’un atelier inter-écoles, … ou tout simplement en nous lisant sur ce site.
L’équipe du secteur des Sciences humaines de la Direction de l’enseignement secondaire, c’est 5 personnes complémentaires au service de l’accompagnement et du soutien des enseignant.es en histoire et géographie de la 1ère à la 6e secondaire.
De gauche à droite : Carine Marion, Sarah Flock, Pierre Van Damme, Marianne Quitin et Céline Demoustier.
La CSA, c’est aussi d’autres équipes disciplinaires ou d’autres thématiques. Vous voulez en savoir plus ou transmettre l’info à vos collègues, cliquez sur le Genial ly.
C’est la rentrée des classes, vos conseillers et conseillères pédagogiques vous souhaitent une belle reprise.
Pour cette rentrée, les pages des géoportails et des histoportails ont fait peau neuve. Pas de panique, vous y retrouverez l’ensemble des portails présents dans l’ancien outils de sélection. Nous l’avons juste toiletté des sites qui ne fonctionnaient plus et ajouté l’une ou l’autre trouvaille.
Pour votre information, l’outil de recherche est d’ores et déjà adapté au nouveau programme du tronc commun puisque les catégories concernent également des thématiques du programme.
L’équipe des conseillers pédagogiques du secteur des Sciences humaines
L’Echo a publié un storymap qui pose la question de la vulnérabilité des Wallons face aux événements pluvieux. Un focus est mis sur les inondations de la région liégeoise en juillet 2021 et ses impacts. Les auteurs se sont basées sur des couches issues de WalonMap.
Support documentaire interactif qui permet d’aborder les notions d’aléa et risque en lien avec les inondations.
1. Contextualisation dans le parcours d’apprentissage
Le génocide des Tutsi au Rwanda n’est pas cité tel quel dans les programmes actuelles. Cependant, il peut tout à fait trouver sa place dans le cours d’histoire de 6e. Ainsi, dans les cours d’histoire et de formation historique et géographique (6e-Extrémisme), il pourra aisément être abordé ne fut-ce qu’en comparaison à la Shoah. Ainsi, le processus ayant conduit à la Shoah est considéré comme un prérequis pour cette situation d’apprentissage.(suite…)
Les programmes d’histoire que ce soit en transition ou en qualification n’énoncent pas explicitement le génocide rwandais dans les thématiques à aborder. Cependant, ces mêmes programmes offrent des occasions d’apprentissage ou d’enseignement où ce sujet peut tout à fait être abordé. Par exemple, dans la thématique “extrémisme” du cours de FHG 6e ou dans le moment-clé “Problèmes et enjeux de notre temps”.
Ci-dessous, vous trouverez une série de portes d’entrée auxquelles sont associées des situations d’apprentissages et/ou des ressources pour aborder le génocide des Tutsis en classe d’histoire.
Vous y trouverez également une proposition de portes d’entrée pour travailler des apprentissages en lien avec l’EPC et même pour l’éducation culturelle et artistique (PECA).
Entre histoire et mémoire
Enseigner l’histoire ou la mémoire ? Quelle différence y-a-t il entre les deux ?
La mémoire (collective) se construit en fonction des enjeux du présent et en fonction de ce dont le collectif se souvient. Elle est donc subjective partielle et partiale. Mais toute mémoire est vraie, car elle est réellement ressentie.
Mémoire des congolais, mémoire des coloniaux, mémoire de la 2e -3e génération, mémoire de la résistance, …
Les commémorations sont un signe visible de la mémoire;
L’Histoire est la science qui étudie les faits du passé, les justifie avec des sources et les analyse de façon critique pour en faire un récit objectif. Elle tente de reconstruire la vérité du passé.
La trace du passé entre histoire et mémoire :
Les traces du passé : au sens littéral du terme, il s’agit d’une trace … du … passé. Par exemples, les cartes d’identité de l’époque coloniale, l’église de Nyamata, …
Les traces mémorielles : elles ne sont pas en soi une trace d’un événement passé, mais bien souvent des monuments en souvenir d’événements passés. Ils sont là pour que nous nous souvenions de ceux-ci. Il s’agit la plupart du temps de monuments aux morts, de plaques ou stèles commémoratives, … La stèle inaugurée à Liège le 23 avril 2022 en est un exemple.
A l’aide de l’outil histography.io, identifie 5 événements, ou faits pertinents permettant de contextualiser le génocide rwandais (1994) aux échelles locale, continentale et mondiale.
Cet exercice permet de contextualiser le génocide des tutsi sans prérequis.
Le principe du jeu Timeline a été adapté à l’histoire du Rwanda. Il permettra de travailler la chronologie des événements, la périodisation, ou encore les ruptures, …
Une variante du Timeline “classique” pourrait être de demander aux élèves, lorsque le Timeline est réalisé, d’associer les étapes du processus de génocide à l’histoire du Rwanda.
Cette activité est issue des outils pédagogiques développés par l’association RCN Justice et Démocratie.
Elle pourra s’organiser en deux temps :
1) Réorganiser les images chronologiquement
2) Associer à une image un terme correspondant aux étapes du processus conduisant au génocide.
Structuration des apprentissages : Après l’une des situations d’apprentissage ci-contre, l’enseignant structurera les savoirs, savoir-faire appris à travers ceux-ci. Par exemple :
Savoir-faire : organiser des informations par ordre chronologique, identifier des continuités et des ruptures, identifier des antériorités, postériorités ou simultanéités, …
Ils se sont passés à des époques différents, dans des lieux et des contextes différents, pour autant peut-on comparer ces deux génocides ? Qu’ont-ils en commun ? Quel processus révèlent ils ?
Ubumuntu digital platform : plateforme digitale lancée par Aegis Trust. Ce portail a un but éducatif : cours en ligne, ressources. (non accessible ce 2 avril 2024 )
1. Contextualisation dans le parcours d’apprentissage
La géothermie est une des sources d’énergie renouvelable. Il existe 3 types de géothermie en fonction de la température disponible à l’exploitation :
la géothermie à haute énergie avec des températures > à 150° qui permet de produire de l’électricité
la géothermie à basse énergie avec des températures comprises entre 30 et 100°C qui permet d’alimenter réseau de chauffage urbain.
la géothermie à très basse énergie avec des températures comprises entre 10 et 30°C qui permet du chauffage individuel.
Dans cette situation d’apprentissage, seule la géothermie à haute énergie et à basse énergie seront observées. Dans un premier temps, les élèves décriront la répartition de centrales géothermiques et justifieront leur localisation en faisant référence au modèle de la tectonique des plaques. Dans un second temps, en prenant appui sur l’activité volcanique intense en Islande, ils identifieront les potentialités et les vulnérabilités face à l’aléa volcanique en termes de développement/développement durable.
Pour les élèves de 3ème GEO et 4ème FHG, on ne prendra que les consignes se rapportant aux attendus d’apprentissages de l’année concernées.
Pour les élèves de 5ème GEO, cela permet de réactiver des connaissances de 3ème GEO.
Les écoles en tant que lieu accueillant du monde doivent répondre à des normes de sécurité et d’évacuation. A l’aide d’un croquis cartographique, synthétise les atouts et contraintes du site de ton école. Identifie les accès pour les services de secours ainsi que les zones d’évacuation des élèves.
1. Contextualisation dans le parcours d’apprentissage
La situation d’apprentissage suivante propose un travail en autonomie pour faire découvrir le contexte des années ’20. L’élève sera ainsi amené à utiliser un projet Google Earth, mais aussi à manipuler la bibliothèque numérique “Retronews” pour y lire un article de presse. Cette situation est envisagée comme une introduction au chapitre sur la crise économique des années ’30 , par exemple. Comme proposé également ci-dessous, l’activité pourra se terminer par une auto-évaluation des savoirs abordés dans le projet. (suite…)
L‘application Wayback permet de remonter dans le temps pour observer les changements d’occupations du sol qui se sont produits à la suite de processus/phénomène tels que l’étalement urbain, la désertification, la déforestation, l’industrialisation, des incendies, des aléas (séisme, tsunamis, ouragan, inondation, …).
L’application prend en charge :
l’utilisation du balayage pour comparer des images de différentes dates (possibilité de partage le lien de la vue sélectionnée : voir exemples ci-dessous)
l’animation d’images au fil du temps pour un espace défini.
l’enregistrement d’une carte Web à partir d’images sélectionnées (nécessité d’avoir un compte ArcGIS)
Pour utiliser cette application : consulter le tuto en ligne
Voici quelques lieux pour illustrer différentes dynamiques spatiales :
1. Contextualisation dans le parcours d’apprentissage
2022 correspond aux 50 ans de la parution du rapport Meadows. Si sa réception a été mitigée, l’ouvrage du Club de Rome a néanmoins fait bouger les lignes. Qu’en est-il des débuts de la conscientisation écologique dans les pays de la CEE ?
Cette leçon permet d’aborder l’histoire de l’écologie en Europe et de la construction européenne à travers la question environnementale. Plus spécifiquement, cette situation d’apprentissage propose de mettre en lumière la réception européenne du rapport du MIT peu après sa parution. (suite…)
1. Contextualisation dans le parcours d’apprentissage
Cette séquence d’apprentissage peut prendre place dans le cadre du cours de Formation historique en 6ème (problèmes et enjeux de notre temps : climat et politique internationale) ou en FHG 5ème (mondialisation des échanges). (suite…)
1. Contextualisation dans le parcours d’apprentissage
La protection et la préservation de l’environnement est au cœur de l’actualité depuis de nombreuses années. Plus qu’un simple sujet d’actualité, le climat et, plus largement, l’environnement mobilise les jeunes. Comment intégrer cette thématique de l’environnement dans les cours d’histoire et ainsi faire des liens entre le passé et le présent/l’actualité ? Cette situation d’apprentissage propose d’aborder la question de l’environnement à travers des moments clé comme “L’Europe et le monde – Genèse et étapes de la construction européenne”, ou “Problèmes et enjeux de notre temps” tout en travaillant la compétence “se poser des questions”.(suite…)
1. Contextualisation dans le parcours d’apprentissage
L’exploitation du sol et du sous-sol impacte directement nos paysages et nécessite des autorisations et une modification du plan de secteur. Le cas de la carrière de Romont, située dans la province de Liège, à la limite de la Région flamande et des Pays-Bas, permet d’aborder les points de vue des différents acteurs, les étapes pour modifier un plan de secteur en analysant les potentialités et les vulnérabilités liées à l’extension du site carrier. (suite…)
1. Contextualisation dans le parcours d’apprentissage
L’accès aux fonctions est un élément central du programme de 6ème. Cette situation d’apprentissage va permettre aux élèves de comprendre les enjeux en termes de gestion du territoire au niveau de l’accessibilité aux soins de santé et de poser un regard critique quant aux données issues de géoportail.
Dans un premier temps, les élèves vont caractériser l’accès à la fonction hospitalière afin de porter un regard critique sur les actions prises par le gouvernement en termes de rationalisation de l’offre de soins hospitaliers. (Voir l’article de presse paru dans la Libre Belgique le 8/06/2022).
Dans un second temps, les élèves vont être amenés à vérifier la fiabilité des données d’un géoportail en les confrontant à des données issues d’un autre site.
On connaît surtout Google Earth pour ses différents usages scolaires liés aux apprentissages géographiques. Bien que nous puissions également utiliser les Projets Google Earth en histoire (exemple ici), l’utilisation de l’application reste limitée pour accéder au passé.
Mais c’est sans compter sur la nouvelle option intégrée dans GE. Vous pouvez maintenant bouger, zoomer et dézoomer pur explorer de manière précise une multitude de lieux historiques sur Terre grâce à des calques placés dans l’application.
Pour la découvrir, cliquer sur l’image ci-dessous.
Pour découvrir d’autres utilisations de GE en histoire, rendez-vous sur la partie “Numérique-Google Earth” du site.
1. Contextualisation dans le parcours d’apprentissage
Du 6 au 20 novembre 2022, 50 ans après le Premier sommet de la Terre tenu à Stockholm, la COP 27 s’est réunie à Charm el-Cheikh, en Egypte. Si un accord a été trouvé pour soutenir les pays les plus vulnérables face aux « pertes et dommages » dus aux catastrophes induites par le climat, beaucoup d’observateurs regrettent toutefois que les dirigeants n’ont pas saisi l’occasion pour s’entendre sur l’élimination progressive des combustibles fossiles, pointés comme une des causes principales de la crise climatique. Comment, depuis un demi-siècle, la jeunesse prend-elle part à la réflexion climatique ? En quoi les combats actuels diffèrent-ils ou se rapprochent-ils de ceux menés dans les années 1970 ?
Cet exercice prend particulièrement place dans les enjeux de notre temps : « citoyenneté active » et « environnement », et rejoint le moment-clé : économie et société à partir de la seconde moitié du XXème siècle. Il peut s’inscrire dans le cours de FHG 5ème ou Histoire 6ème.
Remarque : cette situation d’apprentissage a choisi de se concentrer sur la jeunesse et non sur la totalité de la société civile. (suite…)
1. Contextualisation dans le parcours d’apprentissage
A l’occasion de la coupe du monde de football au Qatar et de l’interdiction par la FIFA du port du brassard “One Love” ou de tout autre signe extérieur de protestations ou manifestations politiques, cette situation d’apprentissage propose de se pencher sur les droits des LGBTQI+ en les mettant en perspective historique sous l’angle de la comparaison. En comparant, l’état des droits des LGBTQI+ au Qatar et en Belgique, l’élève sera ainsi outillé afin d’apprécier le caractère situé et universel des Droits de l’Homme. Ces situations d’apprentissage permettent également d’aborder l’UAA 3.1.4. du cours d’EPC pour laquelle les élèves sont amenés à comprendre les différents concepts liés à la reconnaissance et à la négation des droits et des libertés en prenant en considération tant des évènements du passé que du présent.
Ces exercices s’intègrent particulièrement à la thématique “Droits et libertés” du cours de Formation historique et géographique de 4e, mais pourront également trouver leur place dans une introduction du moment clé “Enjeux du temps présent” du cours d’histoire de 6e année.(suite…)
1. Contextualisation dans le parcours d’apprentissage
À la suite de la décolonisation, les nouveaux pays indépendants ont mis en place de nombreuses stratégies de développement. Les Pays du Proche et Moyen-Orient, pourvus en hydrocarbures ont exporté ces matières premières afin d’obtenir des revenus non négligeables. Toutefois, force est de constater que la manne pétrolière ou gazière n’est pas une condition suffisante pour assurer le développement efficace d’un territoire. De plus, ces ressources sont non renouvelables. Dès lors comment préparer l’après-hydrocarbure et dans quelle mesure les hydrocarbures restent-ils toujours l’enjeu principal du développement ?
Dans cette première situation d’apprentissage, les élèves vont être amenés à prendre conscience de l’importance des potentialités et les vulnérabilités liées aux hydrocarbures pour les pays du Proche et Moyen Orient.
Dans une seconde partie (Situation d’apprentissage : Qatar : comment préparer l’après-hydrocarbure?), les élèves vont se rendre compte par l’observation comment les pays du Proche et Moyen Orient se préparent à l’après-hydrocarbure et plus précisément le Qatar, pays organisateur de la coupe du monde de football 2022 qui illustre cet enjeu.
1. Contextualisation dans le parcours d’apprentissage
Depuis l’attribution de la coupe du monde de football au Qatar en 2010, la croissance de la ville de Doha est sans précédent. A travers cette situation d’apprentissage, les élèves vont prendre conscience qu’il y a une consommation de plus en plus grande de l’espace par habitant malgré un milieu contraignant. (suite…)
Envie d’aborder le changement climatique d’une autre façon … Cette représentation théâtrale est pour vous !
Avec La bombe humaine, Éline Schumacher et Vincent Hennebicq mettent le dérèglement climatique au coeur de la réflexion. Dans une démarche sincère, drôle et intelligente, ils explorent toutes les facettes de la crise et tendent un miroir à nos incohérences.
Fonte des glaces, acidification des océans, disparition des espèces animales et végétales… Un mot résume à lui seul l’impact de l’Homme sur l’écosystème terrestre : anthropocène. L’ère des activités humaines qui, sous le joug du capitalisme, met à sac la richesse de notre planète. Nous savons que nous fonçons droit dans le mur, pourquoi est-ce qu’on ne fait rien pour empêcher cela ? C’est la question que se pose Éline, une humaine lambda, pleine d’idéaux mais aussi de contradictions comme beaucoup d’entre nous.
Armés d’un humour délicieusement décalé qui évite l’aspect moralisateur, Éline et Vincent abordent la grande question de l’avenir de la Terre, multipliant les rencontres avec des scientifiques, des anthropologues, des psychologues, des politiciens et des personnes au mode de vie alternatif. Émaillant le propos des soubresauts issus de leur propre vie, de la recherche du grand amour, du sentiment de culpabilité ou encore de l’addiction aux réseaux sociaux, ils nous offrent une bouffée salvatrice et un plongeon incongru dans l’intime face à l’humanité qui vacille.
La pièce s’accompagne de la musique originale live de Marine Horbaczewski et Olivia Carrère : clef de voûte sonore du spectacle donnant tantôt un air d’apocalypse, tantôt un parfum de printemps à la représentation.
« On en ressort gonflés à bloc, poussés dans nos voiles par l’énergie, l’humour, mais aussi le sérieux de ces confessions intimes doublées d’un copieux travail de recherche et de rencontres (…) » — Le Soir
Pour les dates et lieux de représentations, c’est ICI
1. Contextualisation dans le parcours d’apprentissage
La situation d’apprentissage ci-dessous propose de comparer les processus de production de meubles d’hier et d’aujourd’hui à travers notamment l’exemple du meuble en kit de l’enseigne jaune et bleu. Cette situation d’apprentissage n’a pas pour but de faire de nos élèves des spécialistes de la marque, mais bien de les amener à mettre en évidence des permanences et/ou des changements, et mettre en évidence des évolutions sur la base du concept de développement, et ce, en s’appuyant sur une réalité d’aujourd’hui liée à la diversité culturelle, l’insertion socioprofessionnelle, l’environnement, … (suite…)
1. Contextualisation dans le parcours d’apprentissage
La situation d’apprentissage ci-dessous propose de critiquer des points de vue concernant le modèle de production de l’entreprise IKEA. Cette situation d’apprentissage n’a pas pour but de faire de nos élèves des spécialistes de la marque, mais bien d’exercer leur regard critique par rapport à une réalité d’aujourd’hui liée à la diversité culturelle, l’insertion socioprofessionnelle, l’environnement, … (suite…)
7 Etapes pour créer sa première application Experience Builder
1. Sélectionner une carte
Ouvrir son compte ArcGIS et aller dans son contenu. Ouvrir une webcarte créée sur base de l’enquête Survey 123 ou de toute autre web carte (contenant des données). Cliquer dans le menu de gauche sur Créer une application et choisir Expérience Builder
2. Démarrer avec un modèle
Choisir parmi les modèles proposés celui qui vous convient en fonction de ce que vous désirez. Pour l’exemple, on choisit Plein écran vide en cliquant sur Créer
3. Choisir un thème
Choisir un thème pour définir les caractéristiques visuelles et fonctionnelles à donner à l’application. Les couleurs du thème sont appliquées à l’en-tête, au pied de page et au corps de chaque page d’application, y compris les paramètres de couleur des widgets sauf si vous les modifiez.
4. Sélectionner des données sources
Sur l’onglet Données, vous pouvez sélectionner plusieurs sources de données 2D et 3D qui seront utilisées par les widgets de votre application. Vous pouvez vous connecter à différents types de données, comme des cartes Web, des couches hébergées, …
5. Mise en page de la carte
Adapter la position et taille de la carte sur la page en fonction de la mise en page souhaitée. Dans le volet droit, vous pouvez paramétrer votre carte. Vous pouvez modifier la vue initiale:
Choisir personnalisée, cliquer sur Modifier et adapter la vue voulue ensuite Enregistrer.
Vous pouvez choisir différents Outils de la carte en activant les boutons, les icônes Outils apparaissent sur la carte.
À tout moment il est possible de passer en Vue dynamique pour voir le résultat et tester ce qui a été paramétré. Attention quand la Vue dynamique est activée, on ne peut rien modifier !
6. Ajouter des widgets
Les widgets apportent à votre application des fonctionnalités intéressantes comme les diagrammes, des géosignets, la création d’un profil d’élévation, des informations complémentaires sur les données, un filtre sur des données, …. Cela permet une gestion des données et une interactivité de votre application selon vos besoins.
Le contrôleur de widget
Cliquer sur + et choisir parmi les widgets proposés. Si plusieurs widgets sont insérés sur la carte, sélectionner le widget : contrôleur de widget (évite que le widget apparaisse en grand sur la carte) et glisser-déposer sur la carte à l’endroit voulu, il suffit de cliquer sur le + pour ajouter les widgets.
Paramétrer ce widget « contrôleur de widget » dans le volet de droite en sélectionnant dans comportement : multiple, type d’affichage : côte à côte. Vous pouvez également modifier l’apparence des icônes des boutons.
Quelques widgets intéressants
Profil d’élévation : tracer n’importe quel profil à n’importe quel endroit
Dessiner: Annoter une carte de façon éphémère
Filtrer: limiter la visibilité des entités d’une couche (dans l’exemple : identifier chaque élève)
Diagramme : visualiser les attributs quantitatifs d’une couche (dans l’exemple : les concepts observés)
Information sur l’entité : afficher les informations sur les entités d’une couche (dans l’exemple : les informations encodées par les élèves via l’enquête Survey 123)
Enquête : permet de créer une enquête ou d’utiliser une enquête existante dans le widget. Ce widget s’intègre à ArcGIS Survey123.
Paramétrage des widgets
Cliquer sur l’icône du widget inséré sur la carte, un volet à droite apparaît avec le paramétrage du contenu, du style et, pour certains, de l’action.
Widget filtrer
Modifier le titre : Nom des élèves (cliquer sur Filtre)
Cliquer sur Nouveau filtre
Cliquer sur sélectionner des données, et choisir la carte de données adéquates et cliquer sur le + choisir la couche adéquate
Générer une expression : cliquer sur Ajouter une clause, identifier l’attribut sur lequel on va filtrer : nom et prénom – contient
Ensuite aller dans paramétrage (écrou) choisir demander des valeurs et valider par OK
Widget diagramme
Modifier le titre : Concept (cliquer sur diagramme)
Cliquer sur sélectionner des données, et choisir la carte de données adéquates et cliquer sur le + choisir la couche adéquate
Cliquer sur Sélectionner un diagramme: Choisir par secteur
Paramétrage :
Données
Type de catégorie : par groupe
Champ de catégorie : choisir la donnée qui sera représentée
Tranche :
Etiquette des valeurs à activer
Décalage d’étiquette : 10
Mode couleur : par catégorie
Ajouter des actions à certains widgets
Ces actions vont permettre de rendre dynamique et interactive l’application. Il sera donc possible de n’afficher que les observations d’un élève, ou de n’afficher qu’une donnée (ici un concept) ou encore de mettre à jour les données en fonction de l’étendue de la carte.
Pour adapter les observations du diagramme en fonction de l’étendue de la carte
Dans le volet gauche, cliquer sur carte
Dans le volet droit
Clique sur Action
Ajouter un déclencheur
Modification d’étendue
Structure et choisir filtrer les enregistrements de données
Sélectionner les données: choisir la couche d’entité adéquate de la carte en cliquant sur le + .
Pour afficher une donnée spécifique sur la carte en fonction du widget diagramme. (ici les concepts)
Dans le contrôleur de widget, sélectionner le diagramme
Dans le volet droit
Cliquer sur Action
Ajouter un déclencheur
Modifications de sélection d’enregistrement
Sélectionner Carte
Filtrer
Sélectionner les données – choisir la couche d’entités adéquate de la carte en cliquant sur le +
Définir des conditions: choisir le concept pour les 2 conditions.
Dans l’exemple nous n’avons que les concepts concernant l’aménagement du territoire sur l’étendue de la carte
Dans l’exemple nous n’avons que les concepts qui sont identifiés sur l’étendue de la carte
7. Enregistrer et partager
Il suffit de modifier le titre, d’enregistrer l’application et de la publier en mode public.
Les concepts occupent une place importante dans les programmes de géographie
On compte 4 concepts disciplinaires :
continuité/discontinuité spatiale
atouts/contraintes (ou dépendance au milieu)
potentialités/vulnérabilités
aménagement du territoire
et 4 concepts transversaux :
migration
mondialisation
développement
développement durable.
Il n’est pas toujours aisé de pouvoir identifier les représentations qu’ont les élèves de ces concepts. Or, ces représentations sont essentielles à la compréhension des enjeux d’un territoire. Il est donc intéressant de proposer une activité qui permette d’amener les élèves à faire des observations qui illustrent ces concepts. Autrement dit, identifier comment la migration marque le territoire, comment la mondialisation marque le territoire, comment sur un territoire peut-on voir qu’on est dans une perspective de développement durable ou pas, …. Dès lors que les élèves auront pu identifier des espaces marqués par la mondialisation, la migration, des discontinuités spatiales … et résumer en quelques lignes ce qu’ils ont observé (en lien avec leurs connaissances), ils seront capables de mettre en évidence et de comprendre les enjeux d’un territoire.
Cette approche par concepts peut se faire à plusieurs moments de l’année : soit en début de séquence pour travailler sur les représentations, soit en fin de séquence en guise de structuration. Les concepts peuvent être répartis entre groupes ou travailler individuellement sur l’ensemble des concepts ou sur un concept en particulier.
Cette activité peut se faire en classe : l’enseignant projette la carte générée par l’application et les élèves identifient les espaces via smartphone en classe. Cela permet de créer une émulation entre les élèves. Le travail peut également se faire sur un seul concept.
L’outil numérique proposé ci-après a 2 avantages en classe : la collaboration et l’apprentissage par les pairs. Ce travail collaboratif stimule les élèves dans leur travail. La possibilité de consulter ce qui a été fait par ses pairs permet à l’élève « en difficulté » de s’informer par lui-même de la démarche à adopter.
La carte générée devient alors un support d’études de cas dont l’enseignant pourra se saisir tout au long de l’année pour illustrer ces concepts et exercer les compétences disciplinaires. C’est donc un bel outil de structuration.
A l’aide de l’enquête Survey 123 : les concepts en géographie, identifie un espace qui illustre un des concepts abordés au cours de géographie.
Pour ce faire :
Tu identifies un espace à une échelle adéquate (on doit distinguer l’occupation du sol) qui est marqué par le concept que tu as choisi.
Tu décris en quelques lignes ce que tu observes en utilisant un vocabulaire adéquat afin de justifier ton choix
Tu insères une vue au sol ou oblique pour illustrer au mieux l’occupation du sol.
Tu devras observer 1 exemple du concept choisi pour chacun des continents suivants : en Europe, en Afrique, en Amérique du Sud, en Amérique du Nord, en Asie et en Océanie.
Le tuto pour réaliser une enquête Survey 123 se trouve ICI
Le tuto pour réaliser une application Experience Builder se trouve ICI. (Attention cela nécessite un compte d’organisation (School Bundle) – Gratuit)
1. Contextualisation par rapport au(x) métier(s) :
Appeler pour intervenir dans la recherche d’une personne égarée, tu établis un parcours pour te rendre sur place et tu communiques ce parcours à tes collègues.
Compétence (s)
Géographique(s)
Etablir des liens entre les composantes de l’espace
Savoir-faire :
Lire des représentations cartographiques variées
Identifier des occupations du sol
Mesurer des distances
Utiliser la boussole pour orienter une carte
Utiliser la boussole pour s’orienter à l’aide d’une carte
Lire la légende d’une carte
Savoir(s) :
La boussole : fonctionnement, orientation cardinale
La carte : les occupations du sol, l’orientation,
2. Visées, aptitudes et savoirs liés aux compétences professionnelles :
a) Visées:
Prendre conscience des risques et des dangers
Prendre conscience de la diversité de l’environnement de la mission
b) Savoirs:
Estimation des distances
Désignation d’objectifs
Lecture et sélection de cartes et techniques d’orientation de base : la carte, les coordonnées, l’orientation.
Point de station et itinéraire à suivre
Situer son action dans la structure institutionnelle : organisation des zones de secours et de l’aide (médicale) urgente en Belgique
L’UE, l’OTAN et l’ONU : généralités (géographiques)
Notion de Paix, Sécurité et Défense
La typologie des conflits
c) Aptitudes :
Recevoir et exécuter une mission : recueillir des informations pour la mission (cartes, instructions, plans…)
Appliquer les techniques d’observations et pouvoir situer la zone de danger/le danger et y réagir (croquis de repérage, désignation d’objectifs…)
Reconnaître les risques et les dangers, identifier les situations à risque et agir de manière préventive
Evaluer les difficultés sur la base de faits et reconnait les anomalies
Identifier différents types de terrains en zone urbaine et rurale
Respecter le droit des conflits armés (DCA)
S’orienter avec : carte 1/50000 et boussole
Distingue l’essentiel de l’accessoire
Contextualiser sur la base d’observation
Etablir des liens entre les observations
Collaborer pour contribuer à l’objectif commun en informant et se tenant informé
Réaliser, communiquer et évaluer le travail défini sur base d’objectif concret et mesurable.
Communiquer
Efficacement
Objectivement
À l’aide d’outils numériques
3. Pistes d’exploitation :
Objectif final : Sur la base d’une carte topographique au 1/50000 et d’un descriptif de situation (message de la personne égarée), déterminer la zone de recherche et communiquer l’azimut par rapport à la position du poste avancé des secours.
Lire l’occupation du sol en suivant un parcours défini.
Lire les courbes de niveau pour décrire le relief sur un parcours.
Identifier des éléments « remarquables » : lignes HT, église, château d’eau, éoliennes, terrain de foot,
Réaliser le croquis d’un parcours en tenant compte du relief et de l’occupation du sol.
b) Utiliser les coordonnées géographiques :
Situer un lieu à partir de coordonnées GPS (DMS, système de coordonnées UTM)
Lire et communiquer des coordonnées GPS
2. A partir de cartes « papier » :
a)Lire les données de la carte
Voir point 1
b) S’orienter
Lire et communiquer les coordonnées géographiques d’un point (syst UTM) sur une carte 1/50000.
Situer un point sur une carte à partir de coordonnées géographiques UTM.
Définir un azimut et le suivre sur 1km.
Définir un parcours entre deux points en tenant compte du relief et des obstacles.
Lire le relief : courbe de niveau, points culminants, dénivellation …
c) Estimer une distance
Lire l’échelle numérique / linéaire de la carte.
Calculer la distance entre deux points à vol d’oiseau ou en suivant un parcours.
Estimer un temps de parcours en tenant compte de la distance et des obstacles.
d)Mise en situation : Sur la base d’une carte topographique au 1/50000 et d’un descriptif de situation (message de la personne égarée), déterminer la zone de recherche et communiquer l’azimut par rapport à la position du poste avancé des secours.
Depuis 2016, l’IGN publie la quatrième édition de la série de cartes Topo50 au 1:50 000, dont la production s’échelonnera sur 6 années. La série Topo50-éd4 n’est donc pas encore disponible pour toute la Belgique mais devrait l’être en 2022. Caractérisée par un champ cartographique de 32 kilomètres sur 20 kilomètres (640 km²), elle convient bien à la découverte d’une région car son étendue permet d’avoir un bel aperçu de la structure du paysage environnant.
Les données symbolisées ont fait l’objet d’une généralisation des données de référence à l’échelle conceptuelle du 1:10 000. Les toponymes reprises sur la carte ont également été mises à jour.
Topo50 est publiée en projection Lambert2008 mais elle renseigne également un quadrillage en UTM31 (/32) ainsi que des coordonnées géographiques. Le hors-cadre reprend la légende ainsi que des informations telles que la déclinaison magnétique.
b) Cartographie uniforme et partagée pour les Services de Secours 2.0
Tous les services d’urgence en Belgique peuvent imprimer de manière autonome des cartes zonales et des atlas à l’aide de l’outil d’impression. Lors des opérations, ils disposent ainsi toujours d’une cartographie professionnelle et uniforme pour toute la Belgique et les zones frontalières. Les cartes et atlas servent pour les consultations multidisciplinaires (A3) et comme cartes d’ensemble dans les postes de commandement (A1), pour le déploiement opérationnel, tactique et stratégique.
À propos de l’outil
L’outil a été construit et hébergé par l’IGN et lancé en 2022. Il a été réalisé grâce au financement des Services fédéraux du Gouverneur d’Anvers et de l’IGN. Pour les services d’urgence, l’utilisation de l’outil est en principe gratuite. La province du Limbourg a également apporté une contribution financière lors du lancement. L’outil et la cartographie ont été développés grâce à des années de coopération et développement, tests et utilisation avec les services d’urgence de toute la Belgique et les Agences pour la Nature et les Forêts, notamment à l’occasion d’événements et d’exercices multidisciplinaires de grande envergure.
1. Contextualisation par rapport au(x) métier(s) :
A l’Ecole Royale Militaire (ERM), le 26 septembre est la date officielle de commissionnement au grade de Sous-lieutenant ou d’Enseigne de vaisseau de 2ème classe. À cette occasion chaque année fin septembre, les élèves de quatrième année prêtent le serment d’officier lors d’une cérémonie militaire. Les familles des élèves y sont invitées.
“Je jure fidélité au Roi, obéissance à la constitution et aux lois du peuple belge”
Dès lors, tu te demandes quels sont les pouvoirs et rôles du roi et ce qu’en dit la Constitution ?
Compétence (s)
historique(s)
– Situer dans le temps et l’espace
– (critiquer)
– Rechercher un document/une information dans une bibliothèque numérique
2. Visées, aptitudes et savoirs liés aux compétences professionnelles :
a) Visées:
Prendre conscience des valeursliées à l’état et à son statut (respect des droits fondamentaux, non discrimination, …)
Prendre conscience des droits et obligations du citoyen et du professionnel (base des droits fondamentaux, respecter les droits fondamentaux, les droits des citoyens, les valeurs démocratiques …)
Prendre en compte la diversité culturelle
b) Savoirs:
Le système démocratique et la constitution belge
Les partenaires sociaux
Situer son action dans la structure institutionnelle
Qu’est-ce que la défense et quel est son rôle et quelles sont ses missions ?
L’UE, l’OTAN et l’ONU : généralités (historiques)
Notion de Paix, Sécurité et Défense
La typologie des conflits
c) Aptitudes :
Respecter le droit des conflits armés (DCA)
Contextualiser sur la base d’observation
Etablir des liens entre les observations
Collaborer pour contribuer à l’objectif commun en informant et se tenant informé
Réaliser, communiquer et évaluer le travail défini sur base d’objectif concret et mesurable.
Distingue l’essentiel de l’accessoire
Communiquer
Efficacement
Objectivement
À l’aide d’outils numériques
3. Pistes d’exploitation :
Pouvoirs et rôles du roi:
Sélectionne les articles de la constitution en lien avec le pouvoir royal
Cite les 3 pouvoirs
Associe le roi à ces pouvoirs
Exemplifie le pouvoir royal
Le roi a certains pouvoirs, mais aussi des rôles. Cite l’un ou l’autre rôle majeur du roi, et plus largement de la famille royale
Le Roi est chef des armées selon la Constitution. Comment le roi exerce-t-il cette fonction ? Deux éléments limitant le pouvoir du roi : contreseing ministériel pour tout acte du roi, le roi nomme et révoque les ministres
Associe l’image ci-dessous à un article de la constitution
wikipédia.org
Le choix d’un roi – contextualisation:
Rechercher dans une bibliothèque numérique (BelicaPress) des extraits d’articles de presse illustrant les échanges autour du choix d’un chef d’Etat lors de l’indépendance de la Belgique.
Dans un court texte, explique ce qui a conduit le Congrès National à faire le choix d’une monarchie et non d’une république.
4. Exemple de production : /
5. Prolongement possible :
Pouvoir du roi : la loi autorisant l’IVG
Mission royale : mission économique de la Princesse Astrid
Discours du roi à Kinshasa (juin 2022)
Fête du Roi, 15 novembre : contextualiser la fête du Roi
Critiquer : « une monarchie ça ne sert à rien et en plus ça coûte cher ! ». A travers l’analyse de documents d’origines différentes, l’élève sera amené à poser un regard critique et nuancé sur ces idées reçues.
1. Contextualisation par rapport au(x) métier(s) :
Compétence (s)
historique(s)
– Critiquer
– Rechercher un document/une information dans une bibliothèque numérique
Savoir-faire :
– Relever des informations pertinentes
– Comparer des informations
Savoir(s) :
– Inégalités, discriminations, droit de grève, …
– Communisme, syndicats (FGTB, CSC, …), Traité de Rome, …
2. Visées, aptitudes et savoirs liés aux compétences professionnelles :
a) Visées:
Prendre conscience des valeursliées à l’état et à son statut (respect des droits fondamentaux, non discrimination, …)
Prendre conscience des droits et obligations du citoyen et du professionnel (base des droits fondamentaux, respecter les droits fondamentaux, les droits des citoyens, les valeurs démocratiques …)
Prendre en compte la diversité culturelle
b) Savoirs:
Le système démocratique et la constitution belge
Les partenaires sociaux
Situer son action dans la structure institutionnelle
Qu’est-ce que la défense et quel est son rôle et quelles sont ses missions ?
L’UE, l’OTAN et l’ONU : généralités (historiques)
Notion de Paix, Sécurité et Défense
La typologie des conflits
c) Aptitudes :
Respecter le droit des conflits armés (DCA)
Contextualiser sur la base d’observation
Etablir des liens entre les observations
Collaborer pour contribuer à l’objectif commun en informant et se tenant informé
Réaliser, communiquer et évaluer le travail défini sur base d’objectif concret et mesurable.
1. Contextualisation par rapport au(x) métier(s) :
Employé à la zone de secours de HEMECO, tu es chargé par ton supérieur de réaliser un rapportpour évaluer le risque nucléaire de ta zone et établir un plan d’urgence.
Compétence (s)
Géographique(s)
Communiquer sur un support numérique
Identifier des atouts et des contraintes
Etablir des liens entre les composantes de l’espace
Savoir-faire :
Lire des représentations cartographiques variées
Manipuler un géoportail (WalOnMap)
Sélectionner des couches adéquates
Identifier des occupations du sol
Construire une représentation cartographique
Mesurer des distances et des superficies
Utiliser des figurés cartographiques
Savoir(s) :
Repères à l’échelle de la Belgique (Liège, Namur, Mons, Meuse, Sillon Sambre et Meuse, les zones de secours)
Orientation cardinale
Forme de relief (vallée, versant)
2. Visées, aptitudes et savoirs liés aux compétences professionnelles :
a) Visées:
Prendre conscience des risques et des dangers
Prendre conscience de la diversité de l’environnement de la mission
b) Savoirs:
Estimation des distances
Désignation d’objectifs
Lecture et sélection de cartes et techniques d’orientation de base : la carte, les coordonnées, l’orientation.
Point de station et itinéraire à suivre
Situer son action dans la structure institutionnelle : organisation des zones de secours et de l’aide (médicale) urgente en Belgique
L’UE, l’OTAN et l’ONU : généralités (géographiques)
Notion de Paix, Sécurité et Défense
La typologie des conflits
c) Aptitudes :
Recevoir et exécuter une mission : recueillir des informations pour la mission (cartes, instructions, plans…)
Appliquer les techniques d’observations et pouvoir situer la zone de danger/le danger et y réagir (croquis de repérage, désignation d’objectifs…)
Reconnaître les risques et les dangers, identifier les situations à risque et agir de manière préventive
Evaluer les difficultés sur la base de faits et reconnait les anomalies
Identifier différents types de terrains en zone urbaine et rurale
Respecter le droit des conflits armés (DCA)
S’orienter avec : carte 1/50000 et boussole
Distingue l’essentiel de l’accessoire
Contextualiser sur la base d’observation
Etablir des liens entre les observations
Collaborer pour contribuer à l’objectif commun en informant et se tenant informé
Réaliser, communiquer et évaluer le travail défini sur base d’objectif concret et mesurable.
Storymaps sur ArcGIS Online pour le support de présentation
Situation de la zone à risque
Localise sur une représentation de l’espace adéquate la centrale nucléaire de Tihange.
Rédige un bref commentaire pour localiser la centrale nucléaire de Tihange à l’aide de 3 divisions administratives adéquates et d’un repère hydrographique.
Mesure l’étendue du site nucléaire
Indique le nombre de réacteurs et identifie-les sur la représentation de l’espace
Calcule l’âge de cette centrale depuis sa mise en service. (Tenir compte des réacteurs)
Indique la part de la production totale d’électricité de cette centrale au niveau national.
Evaluation du risque
A partir de du site risquenucleaire.be et de l’estimateur de population du SEDAC, estime l’effectif de la population vivant dans la zone de planification d’urgence. Compare-la avec la population belge.
Nomme les zones urbaines affectées et les zones de secours qui devront intervenir dans ce périmètre.
Le plan d’urgence
En cas d’incident nucléaire, comment évacuer la population située dans la zone de planification d’urgence ?
Identifie les éléments de l’environnement qui pourront faciliter ou compliquer l’évacuation des populations (ou l’acheminement des secours).
Conséquences éventuelles
Identifie 3 impacts environnementaux sur le patrimoine naturel et/ou culturel
Identifie 2 impacts sur l’activité économique
4. Exemple de production : /
5. Prolongement possible :
Identifier les espaces touchés par les retombées radioactives (voir SA – Estimer les zones de retombées radioactives)
…
6. Piste de transfert :
Le transfert peut se faire sur une autre centrale nucléaire sur le territoire belge (Doel) ou celles situées aux frontières belges : Chooz (France) ou Borsele (Pays-Bas)
1. Contextualisation par rapport au(x) métier(s) :
Tu participes à un exercice de simulation d’accident nucléaire à Tihange. Ta mission est de caractériser la direction des masses d’air et les espaces concernés par des précipitations sur une carte à l’échelle de la Belgique et des pays limitrophes afin de mettre en évidence les espaces les plus concernés par des retombées radioactives à différents intervalles de temps : au moment de l’accident Temps T, T+3h, et T+12 h.
Temps T : lundi 20 juin 2022 à 1h du matin (Date à adapter à la période de cours )
Il est à noter que lorsqu’on remonte au-delà de 3 jours dans Ventusky, le site ne permet plus la visualisation heure/heure des informations. L’enseignant adaptera donc sa consigne en fonction.
Compétence (s)
Géographique(s)
Décrire une dynamique spatiale en vue de montrer l’évolution d’un phénomène (ici météorologique)
Savoir-faire :
Utilisation d’un géoportail (Ventusky)
Lire une représentation cartographique
Savoir(s) :
Les repères spatiaux à l’échelle de la Belgique (Province, Sillon Sambre et Meuse)
Les grandes zones urbaines frontalières à la Belgique
Orientation cardinale
2. Visées, aptitudes et savoirs liés aux compétences professionnelles :
a) Visées:
Prendre conscience des risques et des dangers
Prendre conscience de la diversité de l’environnement de la mission
b) Savoirs:
Estimation des distances
Désignation d’objectifs
Lecture et sélection de cartes et techniques d’orientation de base : la carte, les coordonnées, l’orientation.
Point de station et itinéraire à suivre
Situer son action dans la structure institutionnelle : organisation des zones de secours et de l’aide (médicale) urgente en Belgique
L’UE, l’OTAN et l’ONU : généralités (géographiques)
Notion de Paix, Sécurité et Défense
La typologie des conflits
c) Aptitudes :
Recevoir et exécuter une mission : recueillir des informations pour la mission (cartes, instructions, plans…)
Appliquer les techniques d’observations et pouvoir situer la zone de danger/le danger et y réagir (croquis de repérage, désignation d’objectifs…)
Reconnaître les risques et les dangers, identifier les situations à risque et agir de manière préventive
Evaluer les difficultés sur la base de faits et reconnait les anomalies
Identifier différents types de terrains en zone urbaine et rurale
Respecter le droit des conflits armés (DCA)
S’orienter avec : carte 1/50000 et boussole
Distingue l’essentiel de l’accessoire
Contextualiser sur la base d’observation
Etablir des liens entre les observations
Collaborer pour contribuer à l’objectif commun en informant et se tenant informé
Réaliser, communiquer et évaluer le travail défini sur base d’objectif concret et mesurable.
Donne les caractéristiques de la masse d’air au moment de l’accident (Temps T) en termes de précipitation, direction et vitesse.
Sélectionne les 3 moments mentionnés et réalise une capture d’écran à l’échelle adéquate par chacun d’entre eux.
Rédige un bref commentaire pour identifier les zones qui seront affectées par les retombées radioactives à l’aide de repères spatiaux pertinents.
4. Exemple de production :
1.Caractéristiques de la masse d’air au moment de l’accident 22 juin 2022 à 1h du matin :
Direction du vent : SO
Vitesse : 11km/h
Masse d’air humide : PP 1.1mm
2.Espaces touchés par les retombées radioactives en Belgique et les pays limitrophes sont :
Entre 1h et 3h, ce sont les territoires situés au sud du sillon Sambre et Meuse qui pourront être affectées, à savoir les provinces de Namur, Liège et Luxembourg. De plus, une zone de précipitations faibles (entre 0.1 et 1.5 mm) traversera ces provinces ce qui favorisera la retombée plus rapide des particules radioactives.
Entre 4h et 7h du matin, la province du Luxembourg restera en alerte car elle sera traversée par une zone orageuse avec des cumuls de 2mm par endroit.
Les régions françaises autour de Charleville-Mézières, Thionville, Metz ainsi que le Grand-Duché du Luxembourg et la région du sud-ouest de l’Allemagne (Trèves et Saarbrücken) devront également être mise sous surveillance quant à la pollution nucléaire.
5. Prolongement possible :
Travailler sur Télérad: géoportail réseau automatique de télémesure de la radioactivité sur le territoire belge. Il est composé de 254 stations (au 31/12/2020), le nombre de stations varie légèrement d’années en années selon les améliorations et modernisations apportées au réseau. Ces stations mesurent en permanence la radioactivité de l’air et des eaux de rivières.
6. Piste de transfert :
Travailler sur une simulation d’accident ailleurs en Belgique ou en Europe.
1. Contextualisation par rapport au(x) métier(s) :
Après 5 mois d’incorporation au sein de l’ERM, tu reçois les informations concernant ton camp d’hiver. Celui-ci se déroule du 23 janvier au 3 février et à l’endroit dont les coordonnées géographiques sont 50°27′ 47,326″N, 6°11′ 18,927″E.
Informe toi des conditions climatiques et de terrain que tu rencontreras afin de préparer au mieux ton sac à dos pour ces 2 semaines intensives.
Compétence (s)
Géographique(s)
Situer un espace
Etablir des liens
Savoir-faire :
Lire et situer à l’aide de coordonnées GPS
Utiliser un SIG
Lire une carte topographique au 1/50.000
Identifier et caractériser des biomes et des climats
Savoir(s) :
Les repères spatiaux à l’échelle de la Belgique (Province, pays limitrophe)
Orientation cardinale
Type de relief
Type de climat
2. Visées, aptitudes et savoirs liés aux compétences professionnelles :
a) Visées:
Prendre conscience des risques et des dangers
Prendre conscience de la diversité de l’environnement de la mission
b) Savoirs:
Estimation des distances
Désignation d’objectifs
Lecture et sélection de cartes et techniques d’orientation de base : la carte, les coordonnées, l’orientation.
Point de station et itinéraire à suivre
Situer son action dans la structure institutionnelle : organisation des zones de secours et de l’aide (médicale) urgente en Belgique
L’UE, l’OTAN et l’ONU : généralités (géographiques)
Notion de Paix, Sécurité et Défense
La typologie des conflits
c) Aptitudes :
Recevoir et exécuter une mission : recueillir des informations pour la mission (cartes, instructions, plans…)
Appliquer les techniques d’observations et pouvoir situer la zone de danger/le danger et y réagir (croquis de repérage, désignation d’objectifs…)
Reconnaître les risques et les dangers, identifier les situations à risque et agir de manière préventive
Evaluer les difficultés sur la base de faits et reconnait les anomalies
Identifier différents types de terrains en zone urbaine et rurale
Respecter le droit des conflits armés (DCA)
S’orienter avec : carte 1/50000 et boussole
Distingue l’essentiel de l’accessoire
Contextualiser sur la base d’observation
Etablir des liens entre les observations
Collaborer pour contribuer à l’objectif commun en informant et se tenant informé
Réaliser, communiquer et évaluer le travail défini sur base d’objectif concret et mesurable.
Communiquer
Efficacement
Objectivement
À l’aide d’outils numériques
3. Pistes d’exploitation :
Pour ce faire :
A partir du site TopoMap Viewer de l’IGN, identifie l’endroit de ton camp d’hiver en sélectionnant la carte topographique au 1 :50.000. Nomme et situe le lieu en rédigeant un bref commentaire en utilisant 2 repères spatiaux pertinents.
Sur base de la carte topo, rédige un commentaire de quelques lignes pour caractériser le relief de l’endroit de ton camp. (Altitude min et max et type de relief)
Caractérise le type de végétation que tu rencontreras et illustre-le par une photo.
Rédige un court texte pour caractériser les conditions climatiques de la région où se déroulera ton camp durant cette période sur base du site de l’IRM. Précise les données climatiques en te rendant sur « climat de votre commune »
3. Exemple de production :
Le camp se déroulera à Elsenborn. Il est situé au nord-est de la province de Liège, à proximité de la frontière allemande.
Le camp se situe à une altitude comprise entre 550 et 640 m d’altitude. Il se situe sur le haut plateau de Belgique.
Le type d’occupation dominante est la lande-bruyère (paysage caractéristique des Hautes-Fagnes) : la végétation est caractérisée par des tourbières, des prairies avec herbacées. On y trouve également une vaste zone marécageuse avec sphaignes, des îlots de feuillus et conifères.
Les conditions climatiques de la région en janvier sont caractérisées par
Des moyennes de températures comprises entre 1 et 1.5°C : la température minimale moyenne pouvant atteindre : -2.4°C
Des moyennes de précipitations comprises entre 160 mm et 180 mm (Zone la plus pluvieuse de la Belgique) et vu les températures, elles seront sous forme neigeuses.
4. Prolongement possible :
Travailler sur une mission hors de la Belgique : UE, Monde afin de travailler sur les biomes, climats à d’autres échelles.
1. Contextualisation par rapport au(x) métier(s) :
Tu travailles à la zone de police locale Semois et Lesse, au commissariat de Bertrix. Le commissaire te demande d’organiser le transfert d’un prisonnier de la prison de St Hubert au Tribunal de première Instance d’Arlon. La date d’audience est prévue le 28 juin 2022 à 15h30.
Compétence (s)
Géographique(s)
Décrire une répartition spatiale
Etablir des liens entre les composantes du territoire
Savoir-faire :
Lire une représentation cartographique
Utiliser un SIG
Mesurer des distances
Savoir(s) :
Les repères spatiaux à l’échelle de la Belgique (province, commune)
Les grandes zones urbaines à la Belgique
2. Visées, aptitudes et savoirs liés aux compétences professionnelles :
a) Visées:
Prendre conscience des risques et des dangers
Prendre conscience de la diversité de l’environnement de la mission
b) Savoirs:
Estimation des distances
Désignation d’objectifs
Lecture et sélection de cartes et techniques d’orientation de base : la carte, les coordonnées, l’orientation.
Point de station et itinéraire à suivre
Situer son action dans la structure institutionnelle : organisation des zones de secours et de l’aide (médicale) urgente en Belgique
L’UE, l’OTAN et l’ONU : généralités (géographiques)
Notion de Paix, Sécurité et Défense
La typologie des conflits
c) Aptitudes :
Recevoir et exécuter une mission : recueillir des informations pour la mission (cartes, instructions, plans…)
Appliquer les techniques d’observations et pouvoir situer la zone de danger/le danger et y réagir (croquis de repérage, désignation d’objectifs…)
Reconnaître les risques et les dangers, identifier les situations à risque et agir de manière préventive
Evaluer les difficultés sur la base de faits et reconnait les anomalies
Identifier différents types de terrains en zone urbaine et rurale
Respecter le droit des conflits armés (DCA)
S’orienter avec : carte 1/50000 et boussole
Distingue l’essentiel de l’accessoire
Contextualiser sur la base d’observation
Etablir des liens entre les observations
Collaborer pour contribuer à l’objectif commun en informant et se tenant informé
Réaliser, communiquer et évaluer le travail défini sur base d’objectif concret et mesurable.
Situe la prison dans sa zone de police et son arrondissement judiciaire. Mesure l’importance de cette zone de police en termes de superficie et d’habitants.
Etablis l’itinéraire le plus rapide à l’aide de Google Maps afin de déterminer l’heure du départ. Enumère les principaux axes routiers que tu devras emprunter.
Identifie des lieux « à risques » sur le trajet de ce transfert. (Endroit où le fourgon pourrait être ralenti ou à l’arrêt)
4. Exemple de production :
Le centre de détention de Saint-Hubert se situe dans la zone de Police de Semois et Lesse au Nord de la province de Luxembourg. Elle regroupe 9 communes : Bouillon, Bertrix, Daverdisse, Herbeumont, Libin, Paliseul, Saint-Hubert, Tellin et Wellin. Elle fait partie de l’arrondissement judiciaire de Neufchâteau. La superficie totale de la zone est de 890 km2, soit +/-3 % de la superficie de la Belgique et concerne une population de +/-36.000 hab soit +/-0.32 % de la population belge. Cette zone de Police a une densité d’habitants de 40hab/km2 ce qui est 8 fois moins élevée que la moyenne nationale.
Le temps de parcours est estimé entre 45min à 1h pour 70km. L’heure de départ est prévue à 14h30. L’itinéraire le plus rapide est celui qui emprunte la N89 et puis la N40 pour rejoindre l’autoroute E411 direction Arlon-Luxembourg. A la sortie 31, prendre la N81 en direction d’Arlon.
Les lieux à risque :
A 6km ralentissement annoncé sur 500m
A 17km ralentissement à la hauteur du zoning commercial
A 21.8 km monté sur l’autoroute
A 57km ralentissement annoncé sur 300m
A la sortie 31 ralentissement annoncé
Au carrefour entre la route d’Arlon et la rue de la Posterie ralentissement
A la hauteur du centre commercial de l’Hydrion ralentissement
A la hauteur du rond-point au bout de la rue de l’Hydrion ralentissement
A la fin de la rue Léon Castilhon avant le rond-point pour accéder au tribunal de première instance ralentissement
La rue de Neufchâteau étant fermée (axe plus direct) cette déviation nécessite des points de vigilance.
5. Prolongements possibles :
Décrire la répartition des prisons à l’échelle de la Belgique
Justifier la répartition des prisons en termes de population (zone urbaine) et d’accessibilité
Justifier le choix d’emplacement d’une nouvelle prison (voir carte Arcgis)
6. Pistes de transfert:
Travailler sur la répartition des prisons dans un autre pays européen (Ex : France)
Lorsqu’on fait face à un témoignage ancien ou récent, il est important d’en démêler le vrai du faux, d’en identifier sa fiabilité. La trace du passé est par essence un témoignage partiel du passé. Afin de mener l’enquête et de reconstituer le passé, l’historien doit en critiquer sa fiabilité. Il en est de même pour les professionnels de la défense, de la sécurité et de la protection qui devront prendre des témoignages afin de reconstituer au mieux les faits. (suite…)
Ci-dessous, vous trouverez quelques étapes à réaliser pour mener une recherche efficace sur internet.
1.Définir sa recherche : il est important de préciser son objet de recherche (thème, temps, lieu) afin de ne pas chercher à tout va, sans but.
2. Utiliser un moteur de recherche:
Chaque moteur de recherche a ses spécificités. Il est important de connaître les atouts et limites de votre moteur de recherche afin de mener, en toute connaissance de cause, votre recherche. Ci-dessous, vous pourrez avoir un aperçu des spécificités des moteurs de rechercher les plus utilisés.
3.Rechercherpar type de document ou filtrer les résultats selon ce que vous recherchez : actualités, images, vidéo, …
4. Utiliser des mots-clés :
Varier les mots entrés dans le moteur de recherche. Utiliser des synonymes, par exemple.
Se mettre à la place d’autres personnes, réfléchir comme eux
5. Quelques astuces pour être plus efficace :
Pour rechercher un extrait de phrase, de texte: utiliser les guillemets
Remplacer un mot qu’on ne connait pas par une étoile *
Rechercher un type de fichier précis. Pour cela, débuter votre recherche par “Filetype :” ou pour rechercher des sites similaires, débuter votre recherche par “related :”
Pour effectuer une recherche en plein texte, utiliser le raccourci “CTRL F” et écrire le mots souhaité.
5. Rechercher par image dans le moteur de recherche (Chrome, par exemple) : cette recherche est très utile quand vous possédez un image dont vous ne connaissez pas notamment la date, l’auteur, ou la source d’une image.
6. Fiabilité des sites : Ce n’est pas tout de trouver un site contenant les informations recherchées. Il faut ensuite en vérifier sa fiabilité notamment en vérifiant l’un des quatre points suivants :
Qui est l’auteur ? Un particulier ? Un professionnel ? Un organisme officiel, non officiel ?
Quel est l’objectif du site ? Vendre ? Informer ?
Quel est le type du site ? Personnel ? Blog ?
Comment le contenu est-il présenté ? Le contenu est-il mis à jour ? Quel est le registre de langue (formel, familier, etc.) ? Y a-t-il des fautes d’orthographe ?
Identifier la date de la dernière(s) mise(s) à jour
…
Pour aller plus loin : Organiser les résultats de sa recherche : ZOTERO
1. Contextualisation dans le parcours d’apprentissage
Bien que réalisée au départ pour le cours de sciences humaines de l’option de base “Aspirant.e aux métiers de la Défense, de la prévention et de la sécurité” (AMDPS), cette situation d’apprentissage peut également trouver sa place dans le cours d’histoire de 5e de Transition dans la contextualisation de la Révolution belge. (suite…)
1. Contextualisation dans le parcours d’apprentissage
Bien que réalisée au départ pour le cours de sciences humaines de l’option de base “Aspirant.e aux métiers de la Défense, de la prévention et de la sécurité” (AMDPS), cette situation d’apprentissage peut également trouver sa place dans le cours d’histoire de 5e de Transition dans la contextualisation de la Révolution belge. (suite…)
En suivant le lien ci-dessous, vous accéderez à un document pdf concernant l’histoire de la Belgique réalisé par le CRVI, Centre Régional de Verviers pur l’intégration. Vous y trouverez également les règles. Il ne vous reste plus qu’à l’imprimer et à y jouer.
Ci-dessous vous trouverez une liste de visites thématiques, d’animations ou d’outils divers non exhaustifsen lien avec le programme du cours d’ « Institutions, d’histoire et de géographie de la Belgique » de l’option de base “Aspirant|aspirante aux métiers de la défense, de la protection et de la sécurité” (AMDPS).
“Les concepts sont envisagés à la fois comme des outils de structuration des savoirs et comme des clés de lecture nécessaires à la compréhension du monde. […] Progressivement construits, ils permettent de caractériser chacune des réalités étudiées. Le référentiel précise pour chaque concept les caractéristiques incontournables qui s’enrichissent et se complètent” tout au long du parcours d’apprentissage. *
Le référentiel ainsi que le programme de FHG précisent également les attendus d’apprentissage liés aux concepts.
*Référentiel des compétences terminales et savoirs communs – Humanités professionnelles et techniques, 2014 (Ressource 14078)
Ci-dessous, vous trouverez différents outils de planification ou d’explicitation des attendus d’apprentissage liés aux concepts de la formation historique et géographique.
Répartition dans le parcours d’apprentissage: Il est à noter que les concepts ainsi que leurs caractéristiques ne sont à travailler que sur la base des thématiques auxquelles ils sont associés dans le programme. Dans ce sens, nous vous conseillons d’également de consulter les essentiels de l’année et/ou les tableaux de planification. Les deux images ci-dessous vous donnent également un aperçu de la répartition des concepts par thématique et par degré.
2. Attendus d’apprentissage :
En lien avec les compétences de la formation historique …
Connaître : Enoncer des caractéristiques du concept abordé et les expliciter à partir d’un exemple vu en classe.
Appliquer : Identifier dans un document inédit, mais d’un genre familier, relatif à une situation vue en classe, une caractéristique du concept abordé.
Concepts historiques
Caractéristiques
(en italique, celles ajoutées au 3e degré)
Explicitation des attendus d’apprentissage essentiels
Migration
Acteurs, lieux, facteurs, ampleur, insertion.
3e – L’élève connait un exemple pour illustrer une migration en faisant référence aux acteurs, aux lieux, à l’ampleur et l’insertion.
Développement
Nature, facteurs, processus, conséquences.
3e-L’élève connaît un exemple pour illustrer un développement en faisant référence à sa nature, ses facteurs et ses conséquences sur un mode de vie.
4e – L’élève connait un exemple pour illustrer des disparités N/S en faisant référence à la nature, les facteurs et les conséquences.
Identité culturelle
Langue, habitudes de vie, religion/pensée, origines, arts.
3e-4e – L’élève connait un exemple pour illustrer une identité culturelle en faisant référence aux langues, aux habitudes de vie, à la religion/pensée et aux origines.
5e – L’élève peut faire référence à une situation en lien avec l’UE ou les acquis sociaux/politiques pour illustrer l’identité culturelle.
5e– L’élève peut faire référence à une situation en lien avec la mondialisation pour illustrer le développement et l’identité culturelle.
6e – L’élève peut faire référence à une situation de remise en question de l’Etat Belge pour illustrer l’identité culturelle et la démocratie et autoritarisme.
Démocratie/autoritarisme
Détenteurs du pouvoir, droits/libertés, institutions.
4e– L’élève connait un exemple qui illustre des droits et libertés en faisant référence aux détenteurs du pouvoir.
5e – L’élève peut faire référence à une situation en lien avec l’UE ou les acquis sociaux/politiques pour illustrer la démocratie.
6e – L’élève peut faire référence à une situation de remise en question de l’Etat Belge pour illustrer l’identité culturelle et la démocratie et autoritarisme.
6e – L’élève peut faire référence à une situation en lien la résurgence des mouvements et partis extrémistes pour illustrer la démocratie et l’autoritarisme et la stratification sociale.
Stratification sociale
Groupes sociaux, traits distinctifs, rapport entre les groupes.
4e – L’élève connait un exemple qui illustre des groupes sociaux en faisant référence à des traits distinctifs et des rapports entre groupes.
5e – L’élève peut faire référence à une situation en lien avec les acquis sociaux/politiques pour illustrer la stratification sociale.
6e – L’élève peut faire référence à une situation en lien la résurgence des mouvements et partis extrémistes pour illustrer la démocratie et l’autoritarisme et la stratification sociale.
En lien avec les compétences de la formation géographique …
Connaître : Enoncer les principales caractéristiques des concepts liés au thème étudié et les expliciter à partir d’exemples vus en classe.
Appliquer: Identifier dans un document inédit, mais d’un genre familier, relatif à une situation vue en classe, une caractéristique du concept abordé.
Concepts géographiques
Caractéristiques
Explicitation des attendus d’apprentissage essentiels
Migration
Identité, origine, destination, importance du flux, présence de liens entre le déplacement des populations et, d’une part, les foyers de population et, d’autre part, les conditions de vie.
3e – L’élève connait un exemple de migration qui fait référence à l’identité, l’origine, la destination et l’importance du flux et qui met en évidence des liens entre le déplacement et les conditions de vie
Développement
(uniquement au 3e degré)
Liens entre le niveau de développement et les conditions d’exploitation d’une ressource naturelle et la nature des produits échangés,évolution de la répartition spatiale du niveau de vie de la population, de la valeur ajoutée des secteurs, disparités des modes de production et aux flux qu’elles génèrent.
5e – L’élève peut faire référence à une situation de déforestation comme exemple de dépendance au milieu et de développement.
6e – L’élève peut faire référence à une situation en lien avec les bassins d’emploi comme exemple de développement.
Dépendance au milieu
Localisation, besoins, contraintes naturelles, ressources disponibles, caractère « durable » des activités humaines, des modes de transport, techniques et économiques, présence de liens entre la répartition des ressources naturelles et leur consommation, présence de liens entre les activités humaines et la pression exercée sur l’environnement
4e – L’élève connait un exemple qui illustre l’utilisation de l’eau en faisant référence aux besoins, aux contraintes naturelles, techniques et économiques en termes de pression sur l’environnement.
4e – L’élève connait un exemple qui illustre un risque en faisant référence à la localisation, la population et à la nature du risque.
5e – L’élève peut faire référence à une situation de déforestation comme exemple de dépendance au milieu et de développement.
Aménagement du territoire
Localisation, dynamique de l’espace urbain compte tenu de l’environnement naturel, présence de liens entre l’étalement urbain et la densité de population, le site, les conditions de vie.
Dynamique spatiale et aux acteurs spatiaux. Présence de liens entre le territoire concerné, l’affectation du sol et les acteurs spatiaux.
3e – L’élève connait un exemple d’étalement urbain qui met en évidence l’impact des activités humaines sur l’environnement.
6e – L’élève peut faire référence à une situation pour illustrer ce qu’est l’aménagement du territoire.
1. Contextualisation dans le parcours d’apprentissage
La guerre en Ukraine remet à l’avant de l’actualité la notion de génocide. Afin de voir si nous pouvons qualifier les faits qui se sont déroulés à Boutcha début avril 2022 de « génocide », portons notre regard vers l’histoire afin de savoir ce que revêt cette notion et de quand elle date. Mais cette question ne se limite pas à l’actualité, elle se pose pour tout autre massacre ou génocide. Cette situation d’apprentissage trouvera sa place aussi bien dans les cours d’histoire que de FHG en 6e année.
1. Contextualisation dans le parcours d’apprentissage
La fiabilité des informations est importante, elle l’est d’autant plus lorsque le sujet est délicat, comme dans l’exemple ci-dessous. Un manque de fiabilité, de précision peut avoir un impact sur le sérieux du travail et la bonne compréhension du sujet.
Cette situation d’apprentissage propose d’aborder l’article de Wikipédia concernant le génocide des Tutsi sous l’angle de la fiabilité et de la précision des informations.(suite…)
Aujourd’hui la carte est un outil largement présent dans les médias : internet, journal télévisé, presse écrite, … Elle est un puissant outil de communication et à pour but de délivrer un message pour permettre aux lecteurs de comprendre ou de prendre une décision. Toutefois, la réalisation d’une carte est un processus complexe qui implique des choix de la part du cartographe, elle est donc bien une représentation possible de l’espace ou d’un phénomène, ce qui implique des choix de la part de l’auteur : sélection des données, les figurés et les couleurs, le fond de carte, l’échelle, etc… Réaliser une carte ne s’improvise donc pas.
Face à cette utilisation intense des cartes comme moyen de communication, il faut indispensable de réfléchir sur la qualité et la pertinence d’une représentation cartographique avec nos élèves, savoir-faire à travailler dès le 2ème degré et à certifier au 3ème degré.
En lien avec l’actualité française, voici une petite vidéo de Jules Gandrin, cartographe français, qui porte un regard critique sur la façon dont les cartes réalisées sur le premier tour des élections présidentielles françaises de 2022 peuvent nous influencer !
1. Contextualisation dans le parcours d’apprentissage
Avec le maïs et le riz, le blé est la troisième céréale la plus consommée au monde. Elle est cultivée depuis près de 10.000 ans et représente un aliment de base pour beaucoup de populations. Le conflit ukrainien met en lumière la vulnérabilité de nombreux pays du Moyen Orient mais également d’Europe face à la sécurité alimentaire par rapport à un produit de base, le blé.
Dans un premier temps, cette situation d’apprentissage vise à mettre en évidence les lieux de productions du blé et les espaces où le rendement de cette culture est le plus élevé. Dans un second temps, les élèves vont observer la structure agraire de plusieurs lieux afin d’apprécier la notion de rendement en lien avec l’aménagement de l’espace agricole. Par ces 2 activités, les élèves vont comprendre que la Russie et l’Ukraine ont comme principale atout de vastes espaces agricoles qui leur permettent d’être de grands exportateurs de blé.
1. Contextualisation dans le parcours d’apprentissage
Au cours de son histoire, la Belgique a connu plusieurs vagues d’accueil de réfugiés ou de migrants. Face au contexte actuel que connait l’Ukraine, la question de l’accueil des réfugiés en provenance de ce pays se pose aujourd’hui pour la Belgique mais aussi pour d’autres pays.
Cette situation d’apprentissage propose aux élèves d’analyser, à l’aide de caractéristiques du concept de migration, la situation de l’accueil des réfugiés ukrainiens. (suite…)
Les cours de Sciences humaines (EDM, géographie, histoire ou FHG) se prêtent particulièrement bien à l’intégration de l’actualité.
Nos élèves posent diverses questions sur l’actualité ukrainienne. Comment les cours de Sciences humaines peuvent-ils aborder cette actualité ? Comment faire apprendre certains essentiels tout en abordant l’actualité ?
Vous trouverez ci-dessous quelques pistes et situations d’apprentissage en lien avec les programmes de Sciences humaines et des objets d’enseignement liés à l’actualité.
Piste : La CED : face aux tensions avec la Russie et plus particulièrement face à l’invasion russe de l’Ukraine, qu’en est-il d’une Europe de la défense ?
Piste : Le risque d’un conflit nucléaire : F.45 du manuel Construire l’Histoire- tome 4 « Armement et désarmement (1945-2015) »
Prérequis : Créer une carte sur ArcGIS et utiliser Google Earth
1. Contextualisation dans le parcours d’apprentissage
La guerre en Ukraine remet en lumière la dépendance énergétique de l’UE. En s’appuyant sur cette actualité, cette situation d’apprentissage va apprendre, dans un premier temps, aux élèves à décrire les lieux de productions/exportations de gaz. Dans une seconde activité, les élèves vont identifier les atouts et les contraintes de l’environnement face à l’extraction gazière sur le territoire russe, mais aussi les impacts positifs et négatifs sur le développement du territoire russe.
1. Contextualisation dans le parcours d’apprentissage
L’actualité pose la question de l’élargissement de l’Union européenne et l’intégration de nouveaux pays comme l’Ukraine. Est-il possible pour l’Ukraine d’intégrer (rapidement) l’Europe ? Quelles sont les conditions d’adhésion à l’UE ? La situation d’apprentissage ci-dessous propose de se pencher sur la contextualisation de l’entrée des différents pays dans l’UE au fil du temps. Cette contextualisation permettra d’éclairer les objectifs de la construction européenne et le contexte qui l’explique.(suite…)
1. Contextualisation dans le parcours d’apprentissage
La guerre en Ukraine remet en lumière la dépendance énergétique de l’UE face aux flux gaziers et pétroliers en provenance de la Russie. En s’appuyant sur cette actualité, cette situation d’apprentissage va apprendre aux élèves à identifier des flux d’énergie à l’échelle européenne et à l’échelle belge afin de mesurer l’importance de la dépendance face à une ressource énergétique.
1. Contextualisation dans le parcours d’apprentissage
La guerre en Ukraine et les relations avec la Russie posent la question des ressources énergétiques de l’Europe et de la Belgique, et tout particulièrement de leur dépendance énergétique vis-à-vis de fournisseurs étrangers comme la Russie. De là, découle également la question de la capacité de la Belgique à se passer de sa production nucléaire.
Cette situation d’apprentissage propose de questionner les productions et consommations énergétiques européenne et belge. Cette situation d’apprentissage trouvera sa place aussi bien dans le cours de géographie 5e que dans celui de FHG 5e. (suite…)