L’Echo a publié un storymap qui pose la question de la vulnérabilité des Wallons face aux événements pluvieux. Un focus est mis sur les inondations de la région liégeoise en juillet 2021 et ses impacts. Les auteurs se sont basées sur des couches issues de WalonMap.
Support documentaire interactif qui permet d’aborder les notions d’aléa et risque en lien avec les inondations.
1. Contextualisation dans le parcours d’apprentissage
La situation d’apprentissage suivante propose un travail en autonomie pour faire découvrir le contexte des années ’20. L’élève sera ainsi amené à utiliser un projet Google Earth, mais aussi à manipuler la bibliothèque numérique « Retronews » pour y lire un article de presse. Cette situation est envisagée comme une introduction au chapitre sur la crise économique des années ’30 , par exemple. Comme proposé également ci-dessous, l’activité pourra se terminer par une auto-évaluation des savoirs abordés dans le projet. (suite…)
L‘application Wayback permet de remonter dans le temps pour observer les changements d’occupations du sol qui se sont produits à la suite de processus/phénomène tels que l’étalement urbain, la désertification, la déforestation, l’industrialisation, des incendies, des aléas (séisme, tsunamis, ouragan, inondation, …).
L’application prend en charge :
l’utilisation du balayage pour comparer des images de différentes dates (possibilité de partage le lien de la vue sélectionnée : voir exemples ci-dessous)
l’animation d’images au fil du temps pour un espace défini.
l’enregistrement d’une carte Web à partir d’images sélectionnées (nécessité d’avoir un compte ArcGIS)
Pour utiliser cette application : consulter le tuto en ligne
Voici quelques lieux pour illustrer différentes dynamiques spatiales :
7 Etapes pour créer sa première application Experience Builder
1. Sélectionner une carte
Ouvrir son compte ArcGIS et aller dans son contenu. Ouvrir une webcarte créée sur base de l’enquête Survey 123 ou de toute autre web carte (contenant des données). Cliquer dans le menu de gauche sur Créer une application et choisir Expérience Builder
2. Démarrer avec un modèle
Choisir parmi les modèles proposés celui qui vous convient en fonction de ce que vous désirez. Pour l’exemple, on choisit Plein écran vide en cliquant sur Créer
3. Choisir un thème
Choisir un thème pour définir les caractéristiques visuelles et fonctionnelles à donner à l’application. Les couleurs du thème sont appliquées à l’en-tête, au pied de page et au corps de chaque page d’application, y compris les paramètres de couleur des widgets sauf si vous les modifiez.
4. Sélectionner des données sources
Sur l’onglet Données, vous pouvez sélectionner plusieurs sources de données 2D et 3D qui seront utilisées par les widgets de votre application. Vous pouvez vous connecter à différents types de données, comme des cartes Web, des couches hébergées, …
5. Mise en page de la carte
Adapter la position et taille de la carte sur la page en fonction de la mise en page souhaitée. Dans le volet droit, vous pouvez paramétrer votre carte. Vous pouvez modifier la vue initiale:
Choisir personnalisée, cliquer sur Modifier et adapter la vue voulue ensuite Enregistrer.
Vous pouvez choisir différents Outils de la carte en activant les boutons, les icônes Outils apparaissent sur la carte.
À tout moment il est possible de passer en Vue dynamique pour voir le résultat et tester ce qui a été paramétré. Attention quand la Vue dynamique est activée, on ne peut rien modifier !
6. Ajouter des widgets
Les widgets apportent à votre application des fonctionnalités intéressantes comme les diagrammes, des géosignets, la création d’un profil d’élévation, des informations complémentaires sur les données, un filtre sur des données, …. Cela permet une gestion des données et une interactivité de votre application selon vos besoins.
Le contrôleur de widget
Cliquer sur + et choisir parmi les widgets proposés. Si plusieurs widgets sont insérés sur la carte, sélectionner le widget : contrôleur de widget (évite que le widget apparaisse en grand sur la carte) et glisser-déposer sur la carte à l’endroit voulu, il suffit de cliquer sur le + pour ajouter les widgets.
Paramétrer ce widget « contrôleur de widget » dans le volet de droite en sélectionnant dans comportement : multiple, type d’affichage : côte à côte. Vous pouvez également modifier l’apparence des icônes des boutons.
Quelques widgets intéressants
Profil d’élévation : tracer n’importe quel profil à n’importe quel endroit
Dessiner: Annoter une carte de façon éphémère
Filtrer: limiter la visibilité des entités d’une couche (dans l’exemple : identifier chaque élève)
Diagramme : visualiser les attributs quantitatifs d’une couche (dans l’exemple : les concepts observés)
Information sur l’entité : afficher les informations sur les entités d’une couche (dans l’exemple : les informations encodées par les élèves via l’enquête Survey 123)
Enquête : permet de créer une enquête ou d’utiliser une enquête existante dans le widget. Ce widget s’intègre à ArcGIS Survey123.
Paramétrage des widgets
Cliquer sur l’icône du widget inséré sur la carte, un volet à droite apparaît avec le paramétrage du contenu, du style et, pour certains, de l’action.
Widget filtrer
Modifier le titre : Nom des élèves (cliquer sur Filtre)
Cliquer sur Nouveau filtre
Cliquer sur sélectionner des données, et choisir la carte de données adéquates et cliquer sur le + choisir la couche adéquate
Générer une expression : cliquer sur Ajouter une clause, identifier l’attribut sur lequel on va filtrer : nom et prénom – contient
Ensuite aller dans paramétrage (écrou) choisir demander des valeurs et valider par OK
Widget diagramme
Modifier le titre : Concept (cliquer sur diagramme)
Cliquer sur sélectionner des données, et choisir la carte de données adéquates et cliquer sur le + choisir la couche adéquate
Cliquer sur Sélectionner un diagramme: Choisir par secteur
Paramétrage :
Données
Type de catégorie : par groupe
Champ de catégorie : choisir la donnée qui sera représentée
Tranche :
Etiquette des valeurs à activer
Décalage d’étiquette : 10
Mode couleur : par catégorie
Ajouter des actions à certains widgets
Ces actions vont permettre de rendre dynamique et interactive l’application. Il sera donc possible de n’afficher que les observations d’un élève, ou de n’afficher qu’une donnée (ici un concept) ou encore de mettre à jour les données en fonction de l’étendue de la carte.
Pour adapter les observations du diagramme en fonction de l’étendue de la carte
Dans le volet gauche, cliquer sur carte
Dans le volet droit
Clique sur Action
Ajouter un déclencheur
Modification d’étendue
Structure et choisir filtrer les enregistrements de données
Sélectionner les données: choisir la couche d’entité adéquate de la carte en cliquant sur le + .
Pour afficher une donnée spécifique sur la carte en fonction du widget diagramme. (ici les concepts)
Dans le contrôleur de widget, sélectionner le diagramme
Dans le volet droit
Cliquer sur Action
Ajouter un déclencheur
Modifications de sélection d’enregistrement
Sélectionner Carte
Filtrer
Sélectionner les données – choisir la couche d’entités adéquate de la carte en cliquant sur le +
Définir des conditions: choisir le concept pour les 2 conditions.
Dans l’exemple nous n’avons que les concepts concernant l’aménagement du territoire sur l’étendue de la carte
Dans l’exemple nous n’avons que les concepts qui sont identifiés sur l’étendue de la carte
7. Enregistrer et partager
Il suffit de modifier le titre, d’enregistrer l’application et de la publier en mode public.
L’outil vous propose par défaut d’observer un à la suite de l’autre ces changements à l’aide d’un outil de balayage de 2 photos satellites.
Cependant, il vous propose également d’observer les changements soit en choisissant le lieu (visualisation via une carte du monde), soit en sélectionnant une catégorie « de changements » (ville, glace, impact humain, eau, …).
Instant Apps sur Arcgis Online est la nouvelle génération d’applications de cartographie Web configurables. Instant Apps inclut une bibliothèque de modèles d’application et une option de configuration rapide lorsque vous voulez personnaliser l’application.
Chaque modèle d’application répond à un but spécifique, comme afficher une carte, comparer des contenus, calculer un itinéraire, ou rechercher quelque chose à proximité. Ces modèles sont également optimisés pour les appareils mobiles. Les nouveaux formats des atlas numériques de géo ont été créer à partir d’Instant App.
Pour créer des applications avec Instant Apps, vous devez vous connecter à votre compte d’organisation. Si vous n’avez pas encore de compte d’organisation, inscrivez vous gratuitement ICI
Sélectionner une carte
Rechercher dans votre contenu une web Map (une carte) que vous voulez afficher dans une application intuitive et personnalisée
Carine
2. Choisir un modèle d’application
Sélectionner « créer une application web » et choisir « Instant Apps »
Carine
2. Choisir un modèle d’application selon vos données et vos objectifs. Un descriptif est donné pour chaque modèle en cliquant sur la flèche à côté du nom du modèle. Il y a une dizaine de modèles qui répondent à des fonctionnalités bien précises. Dans l’exemple ci-dessous, on vous décrit la Barre Latérale (modèle pris pour la réalisation des atlas 2.0)
Carine
Afficher un aperçu avec vos données en sélectionnant la prévisualisation. Si l’aperçu vous convient, cliquer sur « choisir »
3. Configurer les paramètres et les outils
La configuration Express vous propose de parcourir les paramètres essentiels en 4 étapes . Vous pourrez par la suite ajouter, modifier ou supprimer des outils et fonctionnalités, et ajuster l’apparence.
Pour chaque étape, suivre les instructions et activer les options en cliquant sur les boutons.
Une fois cette première configuration faite, désactiver le mode « express » (en haut à gauche de l’écran) afin de paramétrer d’autres d’autres éléments.
2. L’onglet « interactivité » permet d’ajouter des outils pour améliorer l’exploration de la carte
Explorer/naviguer : vous pouvez activer les géosignets (si vous en avez placé sur votre carte)
Modifier : vous pouvez mettre un bouton pour passer d’un fond de carte à un autre
Partager : capture d’écran, exporter en PDF et partager sur les réseaux sociaux
3. L’onglet « Barre latérale » permet d’activer plusieurs paramètres dont le volet « filtre »
Carine
Sélectionner la couche sur laquelle vous désirez définir un filtre. Il est possible de définir plusieurs filtres.
Sélectionner la couche sur laquelle vous désirez définir un filtre. Il est possible de définir plusieurs filtres
Choisir « entrée utilisateur »
Choisir le filtre d’entrée utilisateur : sélectionner la donnée que vous voulez filtrer
Enregistrer
Si vous voulez supprimer un filtrer, cliquer sur la corbeille.
Attention certaines couches WMS, WFS ne sont pas encore prises en charge par les Instant Apps. Il vous sera donc impossible de faire un filtre.
4. Publier son application
Publier votre application et partager la en mode public ou à votre organisation ou avec vos groupe à l’aide du lien généré
Voici les 4 exemples publiés sur le site pour les 4 atlas de géographie.
Avec une liste d’éléments localisés (avec les adresses), il est possible de construire une carte en quelques minutes.
À titre d’exemple, sur le site de la FWB, enseignement.be, à l’adresse « http://enseignement.be/index.php?page=25949&navi=0 », il est possible d’obtenir la liste des écoles.
Le fichier obtenu est au format CSV. Ouvert avec le programme Excel, il peut être enregistré au format habituel du tableur (.xlsx).
L’exemple ci-contre illustre le début de ce fichier. La colonne F a été ajoutée en indiquant sur la première ligne « Pays » et en recopiant pour toutes les lignes la valeur « Belgium ». Cette astuce permet d’éviter qu’une adresse soit localisée ailleurs qu’en Belgique.
Rendez-vous ensuite sur votre compte ArcGIS. Un compte public ne permet qu’un géocodage d’une centaine d’adresses. Il est préférable de travailler avec un compte scolaire (gratuit).
Se rendre dans « Contenu » puis cliquer sur « Ajouter un élément » puis « Depuis votre ordinateur ». A ce stade, il faut:
sélectionner le fichier Excel évoqué plus haut;
indiquer un titre;
inscrire au moins une balise (un mot-clé);
vérifier que la case « Publiez ce fichier en tant que couche hébergée » est cochée;
cocher la case « Localiser les entités par Adresses ou lieux »
et faire correspondre certains intitulés de colonnes à des champs de localisation:
CODE_POST – sélectionner dans la liste juste à droite « code postale »
Nom_LOC – sélectionner dans la liste juste à droite « Ville »
ADR_RUE – sélectionner dans la liste juste à droite « Adresse ou lieu »
ADR_NO – sélectionner dans la liste juste à droite « Adresse2 »
Pays – sélectionner dans la liste juste à droite « Code du pays »
Le principe est qu’au plus il y a des champs de correspondance, au plus la géolocalisation sera précise.
Cliquer finalement sur » Ajouter un élément ».
Il est possible qu’un message vous indique que des localisations n’ont pas été appariées. Vous pouvez les contrôler et les ajuster si nécessaire manuellement. Dans l’exemple, 1884 adresses ont été géolocalisées pour 1885 lignes (la dernière ligne du fichier était en fait vide!).
La couche créé peut maintenant être ajoutée dans n’importe quelle carte et/ou partagée
Les cours sont suspendus pendant la dernière semaine du mois de mars. Et si on en profitait pour faire le point sur ce qu’il faut retenir des outils numériques disciplinaires ?
Depuis plus d’un an, par la force des choses, on a exploré un tas de nouveaux outils numériques et de nouvelles manières d’utiliser ceux qui étaient déjà connus. Sans compter les outils transversaux (Wooclap, Padlet…), c’est par dizaines que les outils disciplinaires se comptent. Les expériences sur le terrain permettent maintenant de mettre en évidence quelques outils qui s’avèrent particulièrement efficaces pour enseigner et apprendre.
Du 29 mars au 2 avril 2021, des rencontres en ligne sur Zoom sont proposées pour (re)découvrir à travers des exemples d’utilisation avec les élèves, les outils disciplinaires les plus performants.
Consultez régulièrement la page ci-dessous, les propositions évolueront au cours de la semaine en fonction des demandes.
Ce sera aussi l’occasion de vous présenter une nouvelle plateforme sur laquelle nous avons regroupé tous les outils numériques avec leurs tutoriels et exemples d’utilisation.
Top 6 des outils numériques
Des outils numériques (par ordre alphabétique) pour mettre rapidement et efficacement les élèves en activité d’apprentissage en EDM, en FHG, en géographie et en histoire et mettre les élèves en activité.
Si les élèves ont déjà été un peu familiarisés avec l’interface ArcGIS Online, qu’ils ont pu créer un compte (public ou via la licence School Bundle), c’est l’interface la plus performante pour soutenir la formation géographique en hybridation. En quelques clics, l’élève enregistre ses observations géographiques sous forme de géosignets, il complète ses observations en ajoutant des notes de carte qui comportent du texte, des images … et il peut même réaliser des analyses spatiales (zone de chalandise d’un supermarché, de visibilité d’une éolienne …) et accéder à des milliers de cartes.
… Et son application « Survey123 » – Les traces du passé près de chez moi: et si on faisait prendre l’air à nos élèves et découvrir en même temps les traces du passé près de chez eux ? Ex- Application « traces du passé près de chez moi » et tutoriel « Survey 123 »
Sans trop quitter l’univers familier de l’atlas papier, les versions numériques sont particulièrement bien adaptées à l’hybridation. Les outils de superposition, de filtre, d’annotation, de mesure … permettront d’apprendre plus et plus vite que ce soit pour décrire des disparités spatiales ou les expliquer.
Dans le cadre d’une étude thématique (déforestation, mondialisation, migrations, aménagement du territoire…), des systèmes d’informations géographiques spécifiques sont créés par des organisations très performantes (WalOnMap, Global Forest Watch …). Choisissez le géoportail qui vous intéresse et proposez des consignes pour une analyse géographique. La production pourra être des annotations sur une carte, du texte, un tableau d’atouts/contraintes … en fonction des apprentissages ciblés.
La création d’un projet par l’enseignant (consignes pour observer, expliquer ou communiquer) ou par l’élève pour transmettre son travail est une des solutions les plus rapides et efficaces pour réaliser des observations géographiques. À utiliser sans aucune modération. Et pourquoi pas un projet collaboratif permettant de visualiser des vestiges archéologiques ou monuments d’une époque ?
Une question, une remarque, une suggestion, un problème technique ou pédagogique. Toute l’équipe du secteur des sciences humaines est à votre disposition. Nous pouvons entrer en contact par courriel ou en visio (zoom). Les adresses sont accessibles sur la page https://fesec.scienceshumaines.be en cliquant sur le nom des personnes.
Pointofix est un petit logiciel allemand qui permet d’annoter un écran, une page, un document pour une utilisation en direct ou pour un partage sous forme d’une capture d’image.
Ses avantages:
petit programme très léger et facile à utiliser
zoom disponible
pour l’enseignant: annotation en direct d’une ou plusieurs images projetées, capture et partage avec ses élèves ou dans un dossier personnel
pour l’élève: annotation d’une carte, d’une image pour la partager avec l’enseignant ou l’utiliser comme illustration dans une production.
Que vous soyez en questionnement ou simplement curieux des changements qui impactent le numérique en histoire, alors un petit tour s’impose sur ce site.
Si les élèves peuvent contribuer sur une carte collaborative en complétant une enquête Surve123, il aussi possible de créer une carte collaborative en publiant une couche cartographique.
Exemple de contexte qui justifie la création d’une carte collaborative(suite…)
L’enseignant utilise ArcGIS Online pour communiquer des consignes et mettre les élèves en activités:
des annotations sur des cartes (papier ou avec le numérique);
des textes (papier ou avec le numérique);
des tableaux atouts/contraintes (peu importe le support);
d’autres types de productions uniquement au 3e degré (affiche, carte thématique, Story Map …).
Les élèves produisent à l’aide d’ArcGIS Online, individuellement ou non. L’élève produit:
une sélection et/ou une vue sur un compte ArcGIS Online (public ou d’école). Il communique son travail à l’aide d’un hyperlien ; Exemple ICI
des cartes et des notes sur un compte ArcGIS Online (public ou d’école). Il communique son travail à l’aide d’un hyperlien ; Exemple pour mettre en évidence la périurbanisation ou l’étalement urbain et exemples pour mettre en évidence des aménagements pour accéder à l’eau (Espagne et Chine).
des cartes accompagnées de textes (au 2e degré) et éventuellement d’autres supports multimédias (3e degré) sous forme d’une Story Maps sur un compte public ou d’école. Il communique son travail à l’aide d’un hyperlien ;
des observations sur une carte collaborative – Ce dispositif nécessite un compte d’école au moins pour l’enseignant. Les contributions des élèves se font soit :
via un formulaire Survey 123 sur le smartphone, la tablette ou le PC (autre formation) ;
en ajoutant des points, des lignes, des surfaces ou du texte sur une couche partagée par l’enseignant (sur smartphone, tablette ou ordinateur)
La construction d’une carte peut s’avérer très pratique soit quand celle-ci n’existe pas ou dès que des données géolocalisées sont disponibles. C’est le cas dès que dans un tableau Excel, chaque information est accompagnée de coordonnées géographiques. C’est aussi le cas si des élèves récoltent des informations et qu’ils peuvent les associer à des coordonnées géographiques.
L’article illustre la construction d’une carte à partir d’un tableau qui liste les hôpitaux en Afrique subsaharienne.
Temps 1 . Créer un fichier CSV en vue de l’importer dans ArcGIS Online
Par exemple le fichier Sub-Saharan Public Hospitals Geo-coded database publiée sur Harvard Dataverse est au format Excel et comporte une série d’informations pour chaque hôpital dont les coordonnées géographiques. À défaut des coordonnées, l’adresse postale peut généralement convenir pour autant que le pays soit aussi renseigné.
Ouvrir le fichier Excel, de vérifier que les informations utiles sont présentes (noter la manière d’indiquer les coordonnées en degré décimal avec utilisation de la virgule et latitudes sud et longitudes ouest en valeurs négatives)
Enregistrer le fichier au format CSV UTF-8 (séparé par des virgules) (*.csv)
Temps 2. Importer le fichier CSV dans ArcGIS Online
Dans « Contenu », cliquer sur « Ajouter un élément » puis « Depuis votre ordinateur »
Sélectionner le fichier CSV enregistré dans le temps 1 et vérifier que les champs des latitudes et longitudes sont repérés par le système. Le cas échéant, indiquer manuellement le nom des colonnes utiles et valider pour l’importation.
La couche est alors automatiquement créée et pourra être ajoutée à n’importe quelle carte comme toutes les couches.
Étape 3 – Créer une couche de vue.
Comme illustré ci-dessous, cliquer dans le menu à droite pour créer une couche que les utilisateurs pourront manipuler (faire des filtres, modifier les figurés …).
Il suffit de valider ou d’éventuellement corriger les informations affichées. Sans cette couche de vue, les données ponctuelles pourront être vues mais pas filtrées ou adaptées.
Ne pas oublier de partager la nouvelle couche. L’hyperlien du partage de la couche (pas d’une carte) est accessible en bas à droite de la fenêtre d’informations de la couche.
Ouvrir la couche dans une nouvelle carte ou ajouter la couche à une carte existante
La couche peut être ouverte par un autre utilisateur directement depuis cette URL. Elle s’ouvrira alors dans une nouvelle carte.
Pour ajouter cette couche sur une carte existante, sur la carte, aller sur « Ajouter » puis « Ajouter une couche à partir du Web » puis coller l’URL sans rien changer d’autre et cliquer sur « Ajouter une couche ».
Les tutoriels sur les type de questions sont nombreux. Celui intégré à Wooclap devrait déjà faire l’affaire.
Il serait dommage de réduire cet outil à un dispositif pour sanctionner les acquis.
Cet outil permet d’évaluer la qualité des apprentissages ou se faire une idée des représentations des élèves par rapport à l’objet étudié.
Exemples de mobilisation:
En début d’apprentissage, quelque éléments permettront d’identifier le niveau des prérequis et/ou les représentations que les élèves ont de l’objet qui sera étudié.
Pendant l’apprentissage, quelques éléments sur Wooclap permettront de guider les élèves dans leurs recherches et dans les productions qui sont attendues. L’enseignant récolte toutes les informations automatiquement et peut automatiser le retour que les élèves ont de leurs productions.
En fin d’apprentissage, quelques éléments sur Wooclap indiqueront si les objectifs de l’apprentissage sont atteints. Faut-il poursuivre ou revoir la matière autrement?
choisir le mode « Au rythme des participants ». Deux modes se distinguent: le mode « Votes » et le mode « Au rythme des participants ». Ces deux modes pourront être utilisés pour les mêmes questions. Le premier permettra à l’enseignant de forcer le passage d’une question à l’autre. Ce mode est à utiliser par exemple en mode synchrone. Les élèves devront alors répondre individuellement mais au même moment et à la même question. L’enseignant aura une vue des réponses en temps réel et forcera la passage à la question suivante au moment souhaité. Le deuxième mode permettra aux élèves de répondre aux questions dans l’ordre souhaité pendant un temps total éventuellement déterminé.
Exemples d’éléments pour construire un questionnaire
QCM
Ne pas oublier de cliquer sur « Sauvegarder ».
Sondage
Dans ce cas, il n’y a pas de bonne réponse attendue même si l’affirmation ci-contre est vraie! L’objet est d’avoir une information sur la connaissance des élèves à ce sujet.
Trouver sur l’image
Les formes sont limitées mais en ajustant la consigne, ce système est très intéressant en géographie
Créer une échelle
L’objet n’est pas de mettre des points aux élèves mais, comme dans l’exemple ci-contre, d’avoir une idée des forces et des faiblesses dans des domaines donnés afin d’ajuster les contenus de son enseignement.
Créer une question ouverte
Comme l’élève peut obtenir automatiquement un retour, les questions ouvertes permettent de consolider des acquis, mettre en évidence une faiblesse … sans devoir passer en revue chaque copie.
Nuage de mots
Dans l’exemple ci-contre, l’observation en classe a porté sur un élément-clé. Cet élément est-il toujours en mémoire?
Trouver un nombre
Dans l’exemple ci-contre, l’évaluation porte sur la connaissance d’une valeur de référence utile pour apprécier l’importance ou non d’un fait nouveau observé : la part de l’agriculture dans les exportations de l’Ethiopie
Créer un appariement
L’exemple est parlant
D’autres type d’éléments sont disponibles, consultez le site de Wooclap!.
Pour proposer les « questions » d’un évènement aux élèves, il existe deux formules.
1. Le vote
Cette formule est certainement la plus attrayante du point de vue des apprentissages Elle permet de mobiliser des consignes, des questions, des avis … à n’importe quel moment de l’apprentissage. Dès lors que ces éléments interviennent au début ou au cours des apprentissages, ils sont de fait à leur service.
Ci-contre, l’illsutration d’une batteri d’élément en lien avec des apprentissages. Ils sont mobilisés, peu importe l’ordre, au moment le plus opportun.
En plus des renseignements précieux pour orienter l’apprentissage, ce type de support est aussi très efficace pour rythmer le temps en classe ou en visioconférence.
2. Au rythme du participant
Ce mode met l’apprenant seul face aux questions. Si ce type de contexte est généralement parlant pour un enseignant, il est utile de s’interroger sur la fréquence de ce type de dispositif en cours d’apprentissage. Ce n’est pas en pesant les moutons qu’on les engraisse!
Sélectionner l’évènement à exporter puis cliquez sur « Paramètres » (petite roue dentée) dans le coin supérieur droit et, dans le menu de droite, cliquez sur « Plus d’option ».
Activez ensuite l’option illustrée ci-contre
Pour importer
Sur la page d’accueil du Wooclap, cliquer sur « Importer un évènement » et, à partir de l’option « À partir du compte d’un collègue », entrez le code comme celui illustré sur l’image ci-dessus.
Vous trouverez ci-dessous, mais également sur la chaîne Youtube du secteur la vidéo issue du webinaire sur les principes, qualités et fiabilités de l’encyclopédie collaborative Wikipédia. (suite…)
Les SIG révolutionnent la géographie et son enseignement.
Depuis 2018, ESRI permet à toutes les écoles d’accéder gratuitement à un système SIG à la fois professionnel et accessible aux plus jeunes (licence school bundle).
Si l’accès à des centaines de milliers de cartes vous donne l’impression d’être dans la jungle;
Si vous ne voyez pas comment intégrer ces outils pour faire apprendre la géographie;
Si vous avez besoin de tutoriels pour vous guider pas à pas dans l’utilisation d’ArcGIS Online.
Consultez la solution trois en un!
Produit révolutionnaire spécialement adaptée aux programmes de l’enseignement de la géographie en Belgique!
Hello, this note concerns the ArcGIS School Bundle from Esri for which you are identified as an administrator.
The ArcGIS School Bundle will be renewed through July 2025 at no cost. Existing ArcGIS Online subscription users and their content will be maintained. You do not need to do anything to renew your license.
Because of unpredictable events around the COVID-19 pandemic, it is hard to provide an exact timeframe, but the renewal will happen before the current term ends on 31 July 2020. You may receive emails notifying you that your subscription expires soon and encouraging you to renew. You do not need to take any action. The license will be automatically renewed and will be available through 31 July 2025.
Liste des écoles avec un renouvellement de la licence « Standard »
CS Saint Benoit
Habay la Neuve
Hotelschool Ter Duinen
Koksijde
Bisschoppelijk College
Veurne
Sint Ludgardisschool
Antwerpen
College du Sacre Coeur
Charleroi
Institut Notre Dame Beauraing
Beauraing
Sint-Norbertus
Antwerpen
VTI Torhout Scholengroep Sint-Rembert
Torhout
Institut Sainte Begge Andenne
Andenne
Centre scolaire Saint-Benoit Saint Servais Liege
Liege
BA Stassart
Mechelen
College Saint Joseph Chenee
Chenee
Montfort College Rotselaar
Rotselaar
College DIC Liege
Liege
College d’Alzon
Tellin
I-mas Stevoort
Stevoort
Atheneum Wispelberg
Gent
Liste des écoles avec un renouvellement de la licence « Advenced »
Antwerp International School
Antwerpen
Sint Lodewijkscollege
Brugge
VTI Sint-Lucas Menen
Menen
St. John’s International School
Waterloo
Lycee Michel Lucius Luxembourg
Luxembourg
Secundair Kunstinstituut
Gent
Centre d’Enseignement Saint Joseph
Chimay
Institut Sainte-Famille d’Helmet
Bruxelles
College Sainte Croix & Notre Dame
Hannut
Sportlycee Luxembourg
Luxembourg
Institut Saint Francois Ath
Ath
College Saint Julien Ath
Ath
College Saint Hadelin de Vise
Vise
College Notre Dame Dinant
Dinant
Ecole Saint Joseph Comblain au Pont
Comblain au Pont
College Notre Dame des 3 Vallees Genval
Genval
ISF Waterloo International School
Rhode Saint Genese
College Sainte Marie
Mouscron
Centre Scolaire Saint Michel Bruxel
Bruxelles
Etab des Soeurs Notre Dame de Namur
Namur
Institut de l’Enfant-Jésus
Nivelles
Institut Saint Louis Namur
Namur
GO!Malle
Malle
College Oostende Petrus & Paulus
Oostende
Institut Saint Joseph Welkenraedt
Welkenraedt
Institut Saint Joseph Ciney
Ciney
Institut Saint Charles
Dottignies
Lycee de Berlaymont
Waterloo
College du Sacre Coeur Ganshoren
Bruxelles
Esri Belux
Wemmel
College Saint Louis
Liege
Institut des Arts et Metiers Pierar
Virton
Virton
College Saint Remacle Stavelot
Stavelot
Institut Sainte-Marie Jambes
Jambes
Prisma Campus College Izegem
Izegem
Institut Notre Dame Malmedy
Malmedy
Collège Saint-Guibert Gembloux
Gembloux
Institut Marie-Thérèse Liège
Liège
Koninklijk Atheneum Ekeren
Ekeren
Sint-Jozefsinstituut
Brugge
Seminaire de Floreffe
Floreffe
College Pie 10
Chatelineau
De l’Autre Cote de l’Ecole
Bruxelles
Futura Vander Mersch Sec.
Menen
Institut Notre Dame
Charleroi
Institut Notre Dame Philippeville
Philippeville
College Saint Roch
Ferrieres
College Saint Augustin Gerpinnes
Gerpinnes
College du Christ Roi
Ottignies
Athenee Communal Leonie de Waha
Liege
Sint-Lodewijkscollege 1ste graad
Brugge
Informations du 15 mai 2020
Les licences ArcGIS Online arrivent à expiration le 1/08/2020.
Ces licences vont être automatiquement reconduites jusqu’au 1/08/2025.
Attention, ce renouvèlement automatique se fera SI la licence obtenue a été activée (25% des écoles qui ont fait la demande d’une licence ne l’ont pas activée!). Si l’activation n’est pas réalisée dans les prochains jours, ces écoles devront faire une nouvelle demande de licence.
Les licences ArcGIS for Schools Bundles seront à l’avenir de deux types:
Dans tous les cas, le nombre d’utilisateurs va passer de 500 à 2000 automatiquement. Cela permettra aux écoles plus importantes de pouvoir donner un accès à tous les élèves.
Les écoles qui ont activé ArcGIS Pro (version hors ligne) verront leur licence actuelle passer vers ArcGIS for Schools – Advanced
Les écoles qui n’ont pas activé ArcGIS pro verront leur licence actuelle passer vers ArcGIS for Schools – Standard. Toutes les nouvelles demandes de licences seront de ce type.
Les écoles qui le souhaitent peuvent activer (rapidement) ArcGIS pro, même sans l’utiliser actuellement. Il suffit de l’installer et de se connecter avec son identifiant habituel.
Préalablement, il faut demander à l’administrateur du portail de vérifier si la licence ArcGIS Pro est activée pour les utilisateurs dans « Organisation » puis « Membres » et sélectionner le membre concerné puis …
Ensuite, l’utilisateur doit se rendre sur son compte et dans le coin supérieur droit de l’écran …
Une fois le logiciel téléchargé et installé sur votre ordinateur, démarrez ArcGIS Pro puis dans le coin supérieur droit de l’écran …
Avec votre login et mot de passe habituel sous ArcGIS Online, vous aurez la confirmation de l’activation de ce service.
créer un atlas numérique à partir d’un ensemble de couches en quelques minutes;
créer une Story Map en quelques minutes en vue de mettre en ligne à disposition des élèves des supports cartographiques et n’importe quel support documentaire (notamment en vue de faire des analyses en géographie);
créer une application de comparaison de couches (glissière verticale).
Pour l’application de comparaison de couches: https://arcg.is/04eO8K
Information générales
À quoi servent les applications Web?
Elles servent de supports pour diffuser des cartes dans des interfaces plus « habillées » que l’interface habituelle de la carte dans ArcGIS Online.
Elles servent à organiser des portefeuilles de ressources (avec ou sans carte) provenant de n’importe lieu du Web. Ces ressources sont par exemple accompagnées de consignes, de commentaires. Elles peuvent donc constituer des supports pour mettre les élèves en activité d’apprentissage, pour structurer des apprentissages… Elles remplacent avantageusement un PowerPoint ou des notes photocopiées puisque les élèves peuvent y avoir accès en ligne.
Elles servent de support pour la production de travaux d’élèves;
…
Les applications abordées dans l’article sont accessibles:
par l’interface « Carte » → « Partager » → « Créer une application Web ». L’application créée par ce chemin prendra automatiquement appui sur la carte en cours d’édition.
par l’interface « Contenu » → « Créer » → » Configurable Apps ». L’application pourra prendre appui sur n’importe quelle ressource, même si ce ne sont pas des cartes.
La création d’une application comprend les étapes suivantes:
la préparation d’une carte si l’application doit y faire référence ou la collecte des informations du Web à diffuser. C’est une étape longue du processus;
la conception d’un scénario de présentation de l’information si l’application est un récit. C’est une étape longue et décisive de la qualité de l’application.
Réaliser la partie technique de l’application. Cette étape est la plus simple, elle se réduit généralement à quelques clics.
→ La complexité et le temps nécessaire ne sont pas le fait de l’application numérique, mais bien des composantes pédagogiques qui sous-tendent l’application.
Certaines applications sont réservées à un compte avec un abonnement (School Bundle, gratuit pour les écoles). Ces applications sont abordées dans d’autres articles.
Les contenus qui sont intégrés dans les applications devront, au plus tard fin 2020, être issus de sites protégés (l’adresse commence par https://). Une application pourra encore faire référence à des sites non protégés par des hyperliens: le contenu du site non protégé ne s’affichera pas directement dans l’application, mais s’ouvrira dans une nouvelle fenêtre.
Tour d’horizon des applications
Créer un atlas numérique – « Présenter une carte » → « Visionneuse de base » (10 minutes)
Ouvrez la carte d’un des atlas (p.ex. https://arcg.is/01HXXj0) ou une de vos cartes au choix.
Si cette carte n’a pas encore été enregistrée dans vos contenus, faites-le (« Enregistrer » → « Enregistrer sous »
Si cette carte n’est pas encore partagée, faites-le (dans partager, ne pas oublier de décocher « Partager l’étendue de la carte actuelle »
Cliquez sur « Partager » → « Créer une application Web »
Choisir dans « Présenter une carte » → « Visionneuse de base » → « Créer une application Web »
Donnez au moins un titre et des balises → « Terminé ». Patientez
Dans l’onglet « Options », cochez:
« Display scalebar on map »
« Legend »
« Measure Tool »
« Overview Map »
« Display all Layout Options »
« Add Legend to Output »
et dans « Specify active tool at app startup », sélectionnez « Layers »
Cliquez sur « Enregistrer »
Cliquez sur « Lancer »
Copiez l’adresse URL et communiquez là à vos élèves (p.ex. https://cesj.maps.arcgis.com/apps/View/index.html?appid=962ec09fc11641f2ba28c0cd049135d8)
La configuration de l’application peut être corrigée par l’interface « Contenu » en sélectionnant l’application puis « Configurer l’application ». L’adresse URL de l’application ne changera pas, il ne faut donc pas la communiquer à nouveau aux élèves.
Les couches de l’application sont mises à jour par la mise à jour de la carte qui a servi à construire l’application. La carte peut donc être évolutive au fil des apprentissages. L’adresse URL de l’application ne changera pas, il ne faut donc pas la communiquer à nouveau aux élèves.
Créer une Story Map (10 minutes)
Les cartes qui sont utilisées dans une Story Map Series ont intérêt à ne comporter qu’une seule couche. Les cartes utilisées doivent préalablement être partagées (ou elles ne s’afficheront pas).
Les contenus intégrés doivent provenir de sites qui commencent par https://. Si ce n’est pas le cas, la ressource peut être renseignée à l’aide d’un hyperlien.
Dans « Contenu » → « + Créer » → « Configurable Apps » → « Créer une Story Map » → « Story Map Series » → « Créer une application Web »
Donnez au moins un titre et des balises → « Terminé ». Patientez
Sélectionnez l’option « Par onglets » → « Démarrer »
Conservez ou changez le titre → « Flèche vers la droite »
dans la fenêtre « Ajouter onglet », laissez l’option « Carte » cochée et, dans le menu déroulant, cliquez sur « Sélectionner une carte »
Choisissez une carte (dans votre contenu, vos favoris, ArcGIS Online…)
Cochez l’option « Légende » puis « Ajouter ».
Complétez la fenêtre de droite avec tous les contenus multimédias nécessaires. Si rien n’est écrit et que dans les options (plus loin), nous choisirons de dissocier la légende, aucun cadre n’apparaitra.
Ajoutez éventuellement d’autres onglets, p.ex. un site Web en collant l’adresse de l’application créée dans la rubrique précédente.
Ajoutez éventuellement d’autres onglets (p.ex. une vidéo issue de Youtube).
Cliquez sur l’option « Paramètres »
« Options de mise en page » → cochez « Menu déroulant »
« Options de la carte » → cochez toutes les options »
Cliquez sur « Appliquer »
Cliquez sur « Partager » → Ignorez les éventuels problèmes → Cliquez sur « Publique » → Copiez l’URL que vous communiquerez à vos élèves (p.ex. https://arcg.is/1eqzDm0) → « Fermer »
Cliquez sur « Enregistrer »
La configuration de l’application peut être corrigée par l’interface « Contenu » en sélectionnant l’application puis « Configurer l’application ». L’adresse URL de l’application ne changera pas, il ne faut donc pas la communiquer à nouveau aux élèves.
Créer une comparaison de deux couches
Attention, la carte doit être enregistrée en veillant à activer les deux couches (cochées).
Ouvrez la carte https://arcg.is/04eO8K , enregistrez la carte dans vos contenus et partagez-là.
Cliquez sur « Partager » → « Créer une application Web » → « Comparer des cartes/couches » → « Story Map Swipe and Spyglass » → « Créer une application Web »
Donnez un titre et des balises → « Terminer »
Sélectionnez « Barre verticale » → « Suivant »
Choisissez la couche qui sera balayée dans le volet de gauche de la fenêtre (par défaut, celle qui est au bas le la liste des couches dans la carte) → « Suivant »
Cochez sur « Activer un outil de recherche d’adresse » → « Suivant »
Donnez un titre pour chaque vue. La vue de gauche correspond à la couche supérieure dans votre carte (visible uniquement si la légende est activée)→ « Ouvrir l’application »
Complétez éventuellement le volet de gauche (p.ex. avec des consignes d’exploitation)
Corrigez éventuellement les paramètres
Cliquez sur partager et copiez l’URL à communiquer aux élèves (p.ex. https://arcg.is/HXffS)
La configuration de l’application peut être corrigée par l’interface « Contenu » en sélectionnant l’application puis « Configurer l’application ». L’adresse URL de l’application ne changera pas, il ne faut donc pas la communiquer à nouveau aux élèves.L’échelle de la carte sera celle enregistrée avec la carte. Elle peut donc être modifiée à postériori.
sélectionner différentes variables à cartographier à partir d’une couche récupérée en ligne;
dupliquer des couches pour afficher des variables différentes;
adapter les boites de dialogues pour permettre un affichage personnalisé d’informations spatiales.
Couches utilisées pour les exemples:
Pour ajouter les couches renseignées plus bas, copiez l’URL puis dans « Carte » → « Ajouter » → « Ajouter une couche à partir du Web » → Conservez « Service Web ArcGIS Server » indiqué par défaut et collez l’URL → Cliquez sur « Ajouter une couche »
Les couches marquées par cette icône sont réservées aux écoles qui possèdent une licence (gratuite).
Quand ce symbole est présent, il suffit de cliquer dessus pour ajouter automatiquement la couche dans vos favoris pour la récupérer en un clic plus tard.
Jetez toujours un œil sur l’auteur de la publication et prenez le temps d’afficher les détails de l’élément afin de vous faire une idée de la fiabilité de la production. Un auteur tel que ESRI, FAO, NASA, SEDAC … sont préférés à des utilisateurs lambdas.
Depuis l’interface « Carte » → « Ajouter » → « Rechercher des couches » → « ArcGIS Online » → entrer un mot clé (en anglais)
Exemples de mots-clés
Des termes explicites
« relief world », « hydro world », « temperature world », « precipitation world », « altitude world », « railway », « belgium », « France »…
Des termes spécifiques
« population GPW »: les cartes de population réalisées avec la méthode GPW (Gridded Population of the World)
« spw » : couches utilisées dans le portail WalOnMap
« agiv » : couches utilisées dans le portail GeoPunt
« esri » : couches validées par ESRI
Note: à l’intérieur de ce moteur de recherche, quand une couche affiche une origine fiable ‘p.ex. StoryMaps », il est aussi possible d’accéder à l’ensemble des publications cartographiques de cette source en cliquant dessus. Une fenêtre permet alors d’afficher l’ensemble des éléments (cartes, couches, applications).
Exemples
Depuis l’interface « Carte » → « Ajouter » → « Rechercher des couches » → « Living Atlas » → Sélectionnez l’option « Filtre »
Depuis l’interface « Carte » → « Ajouter » → « Rechercher des couches » → autres options
→ Les options de recherche « Mon contenu », « Mes favoris », « Mes groupes » et « Mon organisation » concernent vos contenus ou ceux de votre organisation ou vos favoris.
Depuis l’interface « Contenu » → dans la partie supérieure de l’écran, cliquez sur la loupe
Depuis l’interface « Carte » → « Ajouter » → « Ajouter des couches à partir du Web »
Les cartes visibles dans ArcGIS Online sont de formats variables qui sont diffusés par des serveurs de cartes et récupérés par des interfaces SIG telles que ArcGIS Online.
Les cartes peuvent aussi être diffusées de manière plus confidentielle à l’aide d’adresses URL spécifiques.
En intégrant de cette manière une carte, il faudra préciser son format, les principaux sont repris ci-dessous:
Format de la carte
Particularités
Web Map Service (WMS)
Le WMS fournit une image géoréférencée. Il n’est pas possible de filtrer des données géographiques.
Web Map Tile Service (WMTS)
Le WMTS fournit des images géoréfencées tuilées. À la différence du WMS, ce service charge des données variables en fonction de l’échelle ce qui permet d’alléger les temps de chargement des données. Il n’est pas possible de filtrer des données géographiques.
Web Feature Service (WFS)
Le service WFS propose des couches avec des entités avec la géométrie et les attributs que les utilisateurs peuvent utiliser dans n’importe quelle analyse géospatiale. Les services WFS prennent également en charge des filtres qui vous permettent d’exécuter des requêtes spatiales et attributaires sur les données.
Service Web ArcGIS Server (ou ESRI server)
Couches hébergées par un serveur ArcGIS. Selon le paramétrage de l’auteur, ces couches offrent de nombreuses possibilités de manipulation et de filtres.
KML
Informations géographiques publiées notamment par Google Earth. Les possibilités d’utilisation sont réduites.
Exemple de sources externes à partir du portail WalOnMap:
Sur le portail:
cliquez sur « Catalogue du Géoportail »;
parcourez les couches jusqu’à trouver celle qui vous intéresse. Par exemple dans « Aménagement du territoire », la couche « Aléa d’inondation (Version 2016) – Série ».
cliquez sur le point ⓘ à droite du nom de la couche puis sur « Fiche descriptive ⓘ«
cliquez sur l’onglet « Accès »
copier l’URL correspondant au service de visualisation ESRI- REST (serveur ArcGSI)
Sur votre carte dans ArcGIS Online:
Depuis l’interface « Carte » dans ArcGIS Online → « Ajouter » → « Ajouter des couches à partir du Web » → « Service Web ArcGIS Server » → collez l’URL (CTRL+V) → Cliquez sur « Ajouter à la carte »
Sous chaque carte, une référence WMS est fournie, c’est la même pour toutes les cartes, l’adresse comporte toute la collection. Cliquez sur ce lien puis copiez l’adresse URL mise en évidence.
Sur votre carte dans ArcGIS Online:
Depuis l’interface « Carte » dans ArcGIS Online → « Ajouter » → « Ajouter des couches à partir du Web » → « Service Web OGC WMS » → collez l’URL (CTRL+V) puis cliquez sur « Suivant »
Sélectionnez la couche à ajouter et cliquez sur « Ajouter à la carte ». Parcourez la liste pour sélectionner la couche qui vous intéresse ou utilisez le moteur de recherche.
Répétez l’opération pour chaque couche afin qu’elles s’affichent comme des éléments distincts sur votre carte.
Note: chaque couche peut être renommée en cliquant sur les 3 points placés horizontalement sous chaque élément.
Sélectionnez la couche à gauche et le serveur WMS mis en évidence à droite.
Sur votre carte dans ArcGIS Online:
Depuis l’interface « Carte » dans ArcGIS Online → « Ajouter » → « Ajouter des couches à partir du Web » → « Service Web OGC WMS » → collez l’URL (CTRL+V) puis cliquez sur « Obtenir les couches (ne cliquez pas « Ajouter une couche », l’adresse peut renvoyer vers des dizaines de couches qui s’ajouteront alors toutes à votre carte).
Sélectionnez par exemple la couche « Camping grounds (Flanders, 2019).
Vous pouvez faire es essais avec d’autres cartes (Brugis,…)
Le principe est le même avec les services WFS et WMTS disponibles sur ce site.
Depuis l’interface « Contenu » → « Ajouter un élément » (p.ex. des fichiers KML ou KMZ)
Les fichiers KML ou KMZ (version compressée du KML) sont générés notamment depuis Google Earth peuvent être introduits dans ArcGIS Online.
Téléchargez un fichier KML ou KMZ sur votre ordinateur
Depuis l’interface « Contenu », cliquez sur « nouvel élément ». Choisissez « votre appareil » et sélectionnez le fichier kmz. Choisissez le dossier d’enregistrement, compléter les balises, le résumé éventuellement et cliquez sur « suivant ».
L’application interactive DASHBOARD donne accès à une carte qui permet de sélectionner chaque commune et obtenir automatiquement le graphique d’évolution de la population de la commune depuis 1831 avec la possibilité de focaliser le graphique sur une période donnée.
Des cartes sont proposées pour mettre en évidence les évolutions des populations pendant des moments clés.
Cliquez sur la carte pour accéder à l’application.
Une autre application sur la même base de données permet des traitement plus élaborés des graphiques des évolutions. Elle fonctionne sur le même principe que les atlas numérique avec la fonction « Graphique » en plus. Lisez à ce sujet le point « Informations utiles » sur la carte.
L’accès à la carte en dehors de l’application est disponible en cliquant sur la carte ci-dessous. Cet accès ne nécessite pas un compte ArcGIS et permet de visualiser aussi les évolutions des populations par commune. Les cartes de croissances peuvent être visualisées ou adaptées. De nouvelles cartes peuvent être créées librement.
Avec l’option qui permet de remonter dans le temps Timelapse, Google Earth Online vous permet d’identifier comment évolue l’occupation du sol à n’importe quel endroit sur Terre.
Google Earth online est gratuit et ne doit pas être installé sur votre ordinateur. (suite…)
Les cartes de répartitions par points gagnent à être analysées automatiquement en termes de densité afin de mettre en évidence la répartition spatiale. (suite…)
Dans ce cours, vous allez explorer le monde grâce à ArcGIS Earth, une application de bureau optimisée pour présenter des données en 2D et en 3D dans le monde entier. Vous allez ajouter des couches cartographiques depuis les fichiers et l’atlas mondial dynamique ArcGIS, puis effectuer un déplacement, un zoom et une inclinaison pour les visualiser. Votre exploration inclura Paris, le Mont Everest, San Francisco et plusieurs autres sites. Une fois que vous aurez fini, vous partagerez vos données cartographiques par e-mail.
Les apprentissages réalisés à l’aide d’un SIG visent à illustrer le concept disciplinaire centre-périphérie et plus précisément des facteurs qui influencent la périphérisation des commerces. Pour le dire autrement, un SIG permet de visualiser l’intérêt pour un centre commercial de se localiser plutôt en périphérie d’un centre urbain qu’en son centre.
Illustration dans le cas de Hannut
Identification de la zone de chalandise à 10 minutes à pied pour un commerce situé dans le centre de la localité
Démarche technique
Ajouter une note de carte pour placer un repère au centre de la localité (5’)
Faire une analyse spatiale pour dessiner la zone de desserte – 10 minutes à pied (5’)
Compter la population dans la zone de desserte – 10 minutes à pied – 3.493 personnes en 2017 (3’)
Même démarche pour un parc commercial périphérique (premier transfert)
Ajouter une note de carte pour placer un repère à l’endroit du parc commercial (1’)
Faire une analyse spatiale pour dessiner la zone de desserte – 10 minutes à pied (1’)
Compter la population dans la zone de desserte – 10 minutes à pied – 468 personnes en 2017 (1’)
Faire une analyse spatiale pour dessiner la zone de desserte (10 minutes en voiture) (1’)
Compter la population dans la zone de desserte – 10 minutes en voiture – 468 personnes en 2017 – 42.829 personnes en 2017 (1’)
Comparaison des deux situations : la situation périphérique est manifestement orientée vers l’accès en voiture (la population visée à pied est insignifiante, le parking et aisé et gratuit, la population visée par la voiture et plus de 10 fois supérieure à celle du centre de la localité)
La situation de Hannut sert de cas de référence. Les participants appliquent ces deux ensembles d’analyses spatiales pour la localité proche de leur école.
Cette analyse peut être combinée avec un relevé sur le terrain des cellules vides dans le centre de la localité afin de mettre en évidence d’éventuelles corrélations entre la périphérisation des commerces et la dynamique commerciale du centre. (cfr. Survey123, formation de février 2019).
Illustrations
Zone de chalandise (10 minutes à pied) pour un commerce situé dans le centre de Hannut et population se situant dans cette zone en 2017.
Partant des informations relatives à de l’utilisation des pesticides dans le monde agricole et la situation particulière de la culture de la pomme de terre (voir dossier dans le lien ci-dessus), un SIG permet de répondre facilement à des questions telles que :
Comment évaluer l’importance de l’exposition d’une population aux pesticides ?
Les habitants de ma localité sont-ils plus ou moins exposés à ce risque qu’ailleurs (dans ma région, mon pays…) ?
…
Exemple d’identification du nombre de personnes qui résident à moins de 300 mètres d’un champ de pommes de terre dans un espace de la région de Hannut.
Démarches techniques à apprendre pour obtenir cette information :
Trouvez l’information géographique des types de culture en Wallonie (Sur WalOnMap) (5’)
Importer la carte de WalOnMap sur ArcGIS Online (2’)
Filtrer les données pour extraire la culture de la pomme de terre (5’)
Tracer des zones tampons de 300 m autour des champs de pommes de terre (5’)
Fusionner les zones tampons en un espace d’analyse (dissoudre les limites) (5’)
Compter la population dans les espaces à moins de 300 mètres des champs de pommes de terre – plus de 5.000 personnes en 2017 dans la zone de l’étude (2’)
Dès lors que cette analyse est réalisée pour un espace, tous les autres espaces analyses peuvent être comparés à ce cas de référence pour apprécier la plus ou moins grande vulnérabilité d’une population.
Illustrations
Filtre pour mettre en évidence la localisation des champs de PDT en 2018
Identification des espaces à moins de 300 mètres d’un champ de PDT
Regroupement des espaces en un seul pour comptage (dissoudre les limites)
Les exercices cartographiques sur papier prennent généralement beaucoup de temps et permettent difficilement de tester différentes solutions pour apprécier les effets de différents figurés ou de différentes solutions de discrétisation sur la lecture de la carte.
Les outils numériques offrent des solutions qui permettent en quelques minutes de construire la carte en mettant en œuvre différentes solutions techniques.
Les quelques exemples dans l’article proposent les liens et les démarches techniques pour accéder aux outils qui permettent de construire ou faire varier la représentation cartographique. Une solution efficace et économe en temps pour réaliser les apprentissages relatifs aux techniques cartographiques! (suite…)
Pour créer un projet, vous devez nécessairement disposer d’un compte Google. Le projet sera en effet enregistré automatiquement sur votre Google Drive. (suite…)
« La cartographie collaborative, en tant que nouvelle technique participative de création de cartes, est un sous-ensemble de la néo-cartographie. Elle repose sur l’idée qu’une pluralité de personnes qui travaillent ensemble pour rassembler l’information est en mesure de produire une connaissance de qualité. Cette information peut-être très spécifique, comme une carte de tous les cordonniers de la région, ou plus générique, par exemple une « carte du monde placée sous licence libre ». Il y a de nombreux outils pour créer des cartes collaboratives, mais aussi des motivations et des usages potentiels très différents. » Extrait de FLOSS Manuals(suite…)
« La cartographie collaborative, en tant que nouvelle technique participative de création de cartes, est un sous-ensemble de la néo-cartographie. Elle repose sur l’idée qu’une pluralité de personnes qui travaillent ensemble pour rassembler l’information est en mesure de produire une connaissance de qualité. Cette information peut-être très spécifique, comme une carte de tous les cordonniers de la région, ou plus générique, par exemple une « carte du monde placée sous licence libre ». Il y a de nombreux outils pour créer des cartes collaboratives, mais aussi des motivations et des usages potentiels très différents. » Extrait de FLOSS Manuals(suite…)
L’estimateur de population du SEDAC est un outil qui permet, avec une très grande précision, d’estimer les populations sur un espace donné, que ce soit à l’échelle des continents, d’une région ou localement. Un outil indispensable pour la géographie.
L’article montre comment créer une carte vierge à partir de l’atlas numérique de la 4e année. La démarche est la même pour les autres atlas.
Sélectionnez les couches que vous souhaitez imprimer.
Si vous souhaitez une carte vierge, sélectionnez la couche « Pays du monde (fond blanc) » et en bas de la liste des couches, cliquez sur les trois points à droite de la couche « World Light Gray Base« , sélectionnez l’option « Transparence » et placez le curseur à 100%.
Placez la vue à l’écran à l’échelle souhaitée lors de l’impression et cliquez sur l’icône « imprimer » en haut à droite.
Donnez un titre à votre carte et complétez les informations dans la boite de dialogue en veillant à sélectionner l’option « Conserver l’étendue de la carte » et cliquez ensuite sur Imprimer.
Cliquez ensuite sur le fichier créé. Cliquez avec le bouton droit de la souris pour enregistrer l’image.